Avant 1914, des botteresses liégeoises transportent du charbon, extrait dans les mines du Pays de Liège, vers Jodoigne. Elles ont le dos courbé et fléchissent sous le poids de leur lourde hotte.
Leur trajet régulier par par Waremme, la Haute-Wegge, passant par « Le Pré Cocher », rue de Waremme, le Crucifix, les Trois-Chênes, Boëlhe, Hannut et enfin Jodoigne.
Au retour, elles ramènent des produits frais de la campagne:
En 1954, lors du nettoyage du grand crucifix, suspendu à la voûte de l’église de Crisnée, entre le chœur et la nef centrale, le filin se rompt. Le Christ en plâtre vole en éclat. Seule la tête reste intacte.
En 1958, le vieux crucifix, installé au carrefour de la mairie à Crisnée, est rénové.
En 1963, un crucifix est installé rue Armand Heptia, à Faimes.
A la fin du XIXe siècle, la famille DE BOUSSEMART-NICOLAY offre un crucifix, qui sera installé sous le auvent, au cimetière de Celles.
En 1905, la croix commémorative de l’assassinat de l’abbé TEMPIER Wathy, au croisement de la chaussée romaine et du sentier de Grand-Axhe, est remplacée par un crucifix fixé sur un chêne.