Le 6 avril 1955, DE WULF Chantale voit le jour à Genappe. Elle donnera des cours de cuisine à Waremme.
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Les travaux à l’école de Longchamps sont terminés (Waremme)
En juin 1988, les travaux d’extension de l’école de Longchamps de Waremme, entamés en 1985, sont terminés.
Les travaux auront, au total, coûtés plus de 110.000.000 de francs.
Les nouveaux locaux comprennent:
- Une salle audiovisuelle, baptisée « Jules Etienne », ancien échevin de l’enseignement.
- Une bibliothèque, baptisée « Alphonse Masson », inspecteur cantonal honoraire.
- 12 classes primaires.
- 2 classes pour l’enseignement confessionnel.
- 8 classes pour activités secondaires
- 2 agoras.
- 2 réfectoires.
- Une cuisine équipée.
- Une salle de travaux manuels lourds.
- Une salle de gymnastique de 24 mètres sur 12 mètres, équipée de douches et de vestiaires.
- Une mini-crèche possédant sa propre cuisinette.
- Une buanderie.
- Des locaux administratifs.
- Un espace modulable, plus particulièrement adapté aux tous jeunes, de 4 à 6 classes, avec des espaces « marionnettes », « bibliothèque », « nature vivante », « sable », …
Des cours à « Nosse Mohone » (Grand-Axhe)
En 1982, les Femmes Prévoyantes Socialistes de Grand-Axhe donnent des cours à la maison de quartier « Nosse Mohone »:
- de coupe-couture, le lundi (depuis plus de 40 ans)
- de cuisine et de décoration, le mardi
Les cours sont donnés par Mesdames HICTER, JULIANE, STURREBAUT et PETIT.
Portrait de « Mélanie kète di bwès » en 1950 (Waremme)
WAGELMANS Mélanie, dite « Mélanie kète di bwès », naît en 1857 à Corthys, petit village limbourgeois situé entre Waremme et Hannut. D’origine flamande, elle épouse un wallon. Après avoir perdu son mari, elle quitte son village de Crehen et vient s’installer à la rue des Prés à Waremme, le 21 juin 1919.
Durant toute sa vie, elle va conserver les accents de sa langue maternelle, à laquelle elle ajoutera des mots de français et de wallon, pour en faire un langage patoisant tout à fait personnel.
A la rue des Prés, elle habite un ancien baraquement militaire en bois, adossé au talus d’une prairie, non loin des décanteurs de la Sucrerie. Au fil du temps, ce baraquement devient un véritable taudis, d’où s’exhalent des odeurs fétides. Son logement lui sert à la fois de cuisine, de chambre à coucher et de cabinet d’aisance.
Elle survit grâce à une maigre pension de vieillesse, dont elle arrondit le montant d’aumônes de personnes charitables ou de petites sommes de vagabonds de passage qui partagent son lit.
Son sobriquet de « Mélanie kète di bwès » lui est donné par analogie au sexe des hommes, auxquels elle a emprunté la manière de monter à califourchon les chevaux de labour de la Ferme du Moulin, où elle effectue des travaux de temps à autre.
De nature peu exigeante, elle se satisfait d’un rien pour vivre. Elle se nourrit le plus souvent de soupe, que les soeurs des Filles de la Croix lui préparent, de lard, de pain et de lait, dont elle reçoit quotidiennement un cruchon à la Ferme du Moulin. Elle puise l’eau dont elle a besoin dans une mare alimentée par une source.
Un beau jour, les autorités communales de Waremme décident de la placer à l’hospice de Geer.
Elle y meurt, le 28 décembre 1950, à l’âge de 93 ans.
Les repas au CHBAH (Waremme)
En juin 2012, la cuisine centrale du Centre Hospitalier du Bois de l’Abbaye et de Hesbaye (CHBAH), dont fait partie la clinique Joseph Wauters de Waremme, fournit 8.000 repas par jour. Le cuisinier responsable est FILOT Gérard.
Paul Bocuse, 3 étoiles (France)
L’approvisionnement en eau à Waremme
En 1940, à Waremme, peu de cuisines sont équipées d’un évier. Et que dire des fermes et des maisons des campagnes ! Chacun a sa réserve d’eau de pluie et une pompe à actionner. Il faut se rendre à la fontaine d’eau potable et conserver celle-ci avec soin dans des pots en grès.
La culture de la betterave (Waremme)
Vers 1880, la culture de la betterave sucrière accapare tant d’énergie qu’à la saison de la récolte, il faut recourir à de la main d’œuvre extérieure.
On met à la disposition des saisonniers, de vieilles masures, à proximité de la fabrique de sucre. Le rez-de-chaussée est composé en deux pièces : l’une sert de chambre à coucher pour les hommes, l’autre de cuisine. Les femmes dorment au grenier. Ces saisonniers mangent du lard, du pain noir, des oignons roses et boivent de la bière.
L’Ecole Moyenne Catholique s’étend (Waremme)
En 1860, le directeur de l’Ecole Moyenne Catholique de Waremme, l’abbé JACQUES, fait don à l’école d’une grange qui touche à l’institution. Des travaux sont entrepris pour convertir cette grange en cuisine, en réfectoire et en dortoir. Le montant de ces travaux s’élève à 8.000 francs.