Deux nouvelles cloches pour l’église (Hodeige)

En 1856, deux nouvelles cloches sont placées dans la tour de l’église de Hodeige. Elles donnent respectivement les notes « Sol » et « La », formant un accord parfait avec la grosse cloche, qui sonne en « Fa ».

La première est dédiée à la Sainte-Vierge et pèse 545 kilos. Elle porte l’inscription: « MESSIEURS L. DUPONT BOURGMESTRE J.L. DELVAUX CURE CaLCaVI DraConeM FAITE AUX USINES DE MADAME LA BARONNE DE ROSEE A MOULINS PAR HENRI MICHEL »

La deuxième est dédiée à Saint-Joseph et à Sainte-Philomène et pèse 410 kilos. Elle porte l’inscription: « MESSIEURS L. DUPONT BOURGMESTRE J.L. DELVAUX CURE S. JOSEPH ORA PRO NOBIS FAITE AUX USINES DE MADAME LA BARONNE DE ROSEE A MOULINS PAR HENRI MICHEL »

La sonnerie de Hodeige est fort appréciée dans le pays; c’est une des plus belles des environs.

Nouvelle cloche pour l’église (Hodeige)

En 1841, une nouvelle cloche de 993 kilos (sans le battant) est placée dans la tour de l’église de Hodeige. Elle est dédiée à Saint-André. Elle a été fondue par GAULARD A.T.C. Père. Elle donne la note « Fa ». Elle remplace la cloche qui s’est fêlée l’année dernière.

Elle porte l’inscription: « J-L DELVAUX Curé P-J CHABOT Bourgmestre S. ANDREA ORA PRO NOBIS FONDEU A LIEGE PAR A-T-C GAULARD PERE, 1841« 

Dévotion à Sainte-Philomène (Hodeige)

En 1839, le curé de Hodeige, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, introduit dans sa paroisse la dévotion à Sainte-Philomène.

Ayant appris que la paroisse de Guigoven possède des reliques de la sainte martyre, il s’adresse au curé afin d’obtenir une parcelle de ce trésor. Non seulement, il obtiendra les reliques tant désirées avec leur authentiques, mais encore une belle statue en bois de la sainte, faite par le sculpteur anversois bien connu, DE CUYPER.

En effet, lorsque le curé de Guigoven, l’abbé LAMBRECHTS, grand serviteur de Sainte-Philomène, a commandé pour son église une statue de la sainte, par suite d’un malentendu, le sculpteur en a réalisé deux au lieu d’une. C’est ainsi que Hodeige pourra être gratifiée d’un des deux exemplaires.

L’église en état pitoyable (Hodeige)

En 1834, l’église de Hodeige est dans un état pitoyable. Le presbytère tombe en ruine. Le Chanoine TILQUIN, connaissant le dénuement de cette église, remet une somme de 1000 francs au nouveau curé, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, pour acheter les ornements les plus nécessaires.

Naissance de Jean-Louis Delvaux (Cortessem – Hodeige)

Le 15 avril 1809, DELVAUX Jean-Louis voit le jour à Cortessem. Il sera prêtre. Il sera curé à Hodeige.

Jean-Louis Delvaux, curé (Hodeige)

Le 22 mars 1834, l’abbé DELVAUX Jean-Louis est nommé curé (chapelain ?) de Hodeige. Il est âgé de 25 ans.

Pas de curé à Hodeige

Entre 1833 et 1834, la paroisse de Hodeige reste sans prêtre attitré. Elle est administrée par le curé de Lamine, l’abbé GRISARD.

Thomas Thielen, transféré (Hodeige – Bovenistier – Waleffe)

Vers 1833, le curé de Hodeige, l’abbé THIELEN Thomas, est transféré à Bovenistier (il le sera ensuite à Waleffe).

Thomas Thielen, curé (Hodeige)

En 1829, l’abbé THIELEN Thomas est nommé curé de Hodeige. Il exercera cette fonction pendant 4 ans.

C’est un homme très pieux, mais timoré. Il est scrupuleux. Ses paroissiens se plaignent de la longueur de ses sermons.

Mathieu-Richard Bormans, curé (Hodeige – Fexhe-le-Haut-Clocher)

En 1828, le curé de Hodeige (coadjuteur ?), l’abbé BORMANS Mathieu-Richard, est nommé curé à Fexhe-le-Haut-Clocher.