En 1694, LOWETTE Estienne (Etienne ?) décède à (?). Il était le neveu de l’ancien curé de Crisnée, décédé, l’abbé HAPPART Estienne (Etienne ?). Il sera inhumé au cimetière de Crisnée.
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Mort de l’abbé Kerstenne (Crisnée)
En 1822, l’abbé KERSTENNE Chrétien décède à Crisnée (?), à l’âge de 75 ans. Ses parents étaient KERSTENNE Christian et TROIGNEE Marie. Il a remplacé le curé de Crisnée, expatrié pendant la période révolutionnaire.
Le curé de Crisnée, remplacé
Vers 1790, l’abbé KERSTENNE Chrétien, natif de Crisnée, remplace le curé de Crisnée, l’abbé COHEUR Hubert, qui doit s’expatrier en raison des évènements révolutionnaires. Il exercera ce remplacement jusqu’en 1805.
Mort de l’abbé Coheur (Crisnée)
En 1811, le curé de Crisnée, l’abbé COHEUR Hubert, y décède à l’âge de 56 ans. Ses parents étaient COHEUR Vincent et MOREAU Marguerite.
Mort de l’abbé Hannosset (Crisnée)
En 1692, le curé de Crisnée, l’abbé HANNOSSET Gilles, décède à (?).
Mort de l’abbé Leaule (Crisnée)
En 1561, le curé de Crisnée, l’abbé LEAUL (LOYAL) Jehan, décède à (?).
Du chauffage dans l’église (Crisnée)
Jusqu’en 1924, il n’y a pas de chauffage dans l’église de Crisnée. Avec l’arrivée de l’abbé STALS, la Fabrique d’Eglise décide d’installer un poêle à charbon. Il a été fabriqué par « Bert-li-Mignon ».
Remplacement du curé (Crisnée)
En 1905, le curé de Crisnée, l’abbé SIMONET Joseph, est transféré à Lincent. Il est remplacé par l’abbé COOPMANS Willem, de Lens-Saint-Servais.
La chapelle Notre-Dame de Lourdes (Crisnée)
En 1898, la famille MARNEFFE-COX N., de retour d’un pèlerinage à Lourdes, fait élever au bout de son jardin, près du pont de Crisnée, une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lourdes, en remerciement pour une guérison obtenue.
Le curé du village, l’abbé SIMONET Joseph, y célébrera les offices durant la construction de la nouvelle église. Un grand baraquement en planches, couvert, est ajouté à la chapelle pour mettre les fidèles à l’abri des intempéries.
Construction d’une nouvelle église (Crisnée)
En 1898, le nouveau curé de Crisnée, l’abbé SIMONET Joseph, est la cheville ouvrière de la construction de la nouvelle église du village. L’architecte est le Liégeois FROMENT Henri et l’entrepreneur GREVESSE Nicolas de Chapon-Seraing.