Johan de Beauye, curé (Oleye)

En décembre 1323, l’abbé DE BEAUYE Johan est le nouveau curé (vestit) de l’église d’Oleye. Il succède à l’abbé DE WAREMME Guillaume.

L’abbé Dans assure l’interim (Lantremange)

En 1953, suite au décès du curé de Lantremange, l’abbé PIROTTE Florent, le curé d’Oleye, l’abbé DANS Louis, assume l’interim. Il se déplace avec une moto « Lambretta ».

Convenances de mariage (Oleye)

Le 10 février 1708, les convenances du mariage de LEJEUNE François-Guillaume et de DUMOULIN Catherine sont signées devant le curé d’Oleye, l’abbé BLOUCHOUSSE (BLOUCHOUSE ?).

Testament de Gilles Lejeune (Oleye)

Le 2 septembre 1685, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Gilles rédige son testament devant le curé d’Oleye, l’abbé DE LHOURS Tilman:

  • A son fils aîné, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Gilles, il laisse la cense, les terres et prairies à stuit. Il est le seul à ne pas participer au passif de la succession, à savoir des rentes dues, entre autre, au prélocuteur BONNECHERE et à LAMBRECHT Michel.
  • A son deuxième fils, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Guillaume, il laisse les biens provenant de DE BROUCK François, les terres à stuit de Saint-Lambert, une rente de 3 muids de seigle sur le moulin de Walkin et une rente de 10,5 florins Brabant sur ce même moulin.
  • A son troisième fils, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Michel, il laisse sa maison de Waremme, les terres à stuit de Monsieur DE LONGCHAMPS, 12 verges de prairies au lieu-dit « de la Costalle, à stuit d’un bénéficier ». (Si l’un de ses fils meurt sans enfant mâle, sa part sera partagée entre les frères restants – Ce ne sera pas le cas).
  • A ses quatre fille, LEJEUNE (LEJEUSNE ?) Gertrude, Catherine, Elisabeth et Jeanne, il laisse les terres et prairies héritables provenant de ses père et mère, à condition qu’elles aient des héritiers

Il y aura une nouvelle cloche à Oleye

Le 29 novembre 1948, l’abbé DANZE, curé d’Oleye, adresse un courrier à SLEGERS-CAUSARD, fondeurs de cloches à Tellin.

Suivant l’avis de la Commission des Cloches, l’église d’Oleye est autorisée à faire les démarches nécessaires pour le remplacement d’une cloche – fournie par CAUSARD Père et Fils en 1838 – volée par les Allemands durant la Deuxième Guerre Mondiale.