En octobre 1453, la Cour de Justice de DE CORSWAREM Arnould VI, au village de Herck-Saint-Lambert, prend position au sujet d’une rente.
(DE CORSWAREM Arnould VI possède la Seigneurie de Herck-Saint-Lambert par son second mariage)
En octobre 1453, la Cour de Justice de DE CORSWAREM Arnould VI, au village de Herck-Saint-Lambert, prend position au sujet d’une rente.
(DE CORSWAREM Arnould VI possède la Seigneurie de Herck-Saint-Lambert par son second mariage)
Le 21 octobre 1865, le Comité Central de la Société Libérale de Waremme décide de réaliser un « Grand Livre des Electeurs », une sorte d’enquête sur l’état de l’opinion.
Le 22 septembre 1868, le Conseil Communal de Waremme décide l’engagement d’une deuxième institutrice, par 4 voix contre 3 ; DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond s’abstient.
Le 10 mai 1869, l’Assemblée Générale de la Société Libérale de Waremme se tient au café « Au Cœur d’Or ». Elle décide que NAVEAU Alexandre remplacera ROSELIER, décédé, au comité de la Société.
Le 5 février 2021, suite à la décision de la SNCB de limiter les horaires d’ouverture des guichets dans les gares, le conseiller communal libéral (Groupe « Pour Waremme »), LEURIDAN Grégory, propose que des guichets « virtuels » soient testés à la gare de Waremme, par lesquels le public peut s’adresser à un agent par un écran interposé (comme cela se fait dans les locaux de la police).
Le 6 juin 2005, le Conseil Communal de Waremme décide de modifier le règlement de police relatif à la « Zone Bleue », afin d’assurer une rotation de stationnements dans les artères et espaces publics du Centre-Ville.
Le 2 février 2014, le Conseil Communal de Waremme décide l’acquisition de 32 poubelles publiques, pour poursuivre la politique d’uniformisation du mobilier urbain.
Le 27 juin 1887, le comité central de la Société Libérale de Waremme décide la souscription de 50 abonnements au journal « La Gazette de Huy ».
Le 8 septembre 1891, la Société de Chasse de Waremme décide de ne pas tuer de perdreaux, car il n’en reste plus que quelques vieux spécimens sur le terrain.
En 1231, le Prince-Evêque de Liège décide que le curé de Limont peut percevoir la moitié des offrandes faites à Jeneffe.