Eclairage public à Crisnée

Le 6 juillet 1950, le conseil communal de Crisnée décide d’installer l’éclairage public dans la commune.

Souscription à la Compagnie des Eaux (Crisnée)

Le 28 août 1948, le conseil communal de Crisnée décide de souscrire 16.036 parts sociales, à 100 francs, de la Compagnie des Eaux qui s’occupera du captage et de la distribution de l’eau alimentaire, ainsi que des travaux de placement des conduites.

Subside communal (Crisnée)

Le 8 septembre 1945, le conseil communal de Crisnée, à l’unanimité, vote un subside de 5.000 francs pour la fête qui sera organisée en l’honneur des prisonniers et déportés de la Deuxième Guerre Mondiale.

Le salaire des ouvriers communaux (Crisnée)

En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.

Pavement des cours des garçons (Crisnée)

Le 23 avril 1938, le conseil communal de Crisnée décide le pavement et l’aménagement des cours de l’école des garçons. Un emprunt de 10.000 francs, remboursable en 15 annuités de 667 francs, sera sollicité auprès du Crédit Communal.

Rotation des inhumations (Crisnée)

Le 23 avril 1932, le conseil communal de Crisnée décide d’appliquer une rotation de 25 ans pour les inhumations dans le cimetière communal. (Cette mesure sera sans objet lors de l’agrandissement du cimetière).

Limitation de vitesse à Crisnée

Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.

Relief for Belgium (Crisnée)

En 1917, le conseil communal de Crisnée décide que la consommation journalière de farine américaine, provenant de « Relief for Belgium » ne pourra dépasser 325 grammes par habitant

Des horaires pour glaner (Crisnée)

Le 29 juillet 1916, le conseil communal de Crisnée décide que le glanage ne sera autorisé que de 6 heures à 11 heures et de 14 heures à 18 heures.

La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.