Les « tailles » de Lantremange

En 1752, DUME François remarque que le village de Lantremange ne paie plus les tailles au Pays de Stavelot, mais à celui de Liège.

La Principauté ardennaise ne possède pas de force armée capable de défendre ses droits contre ses voisins.

La « Loi de Liège » en application à Lantremange

En 1445, la « Loi de Liège » est bien en application à Lantremange, au côté de la « Loi d’Aix », malgré les termes de la « Concordia Amicabilis » du 12 mars 1300.

Par l’introduction de sa Loi dans la Justice de Lantremange, le pouvoir liégeois a réalisé un empiètement substantiel, qui servira d’autres desseins. Sans doute, pour l’instant, la Loi de Liège ne s’applique encore qu’aux droits et propriétés du nouveau Seigneur, mais par une extension progressive, elle va s’infiltrer dans d’autres secteurs de la vie juridique et économique de la communauté de Lantremange.

La volonté d’usurpation ne se limite pas au seul village de Lantremange, ni à la Principauté liégeoise. Parmi les voisins de Stavelot-Malmedy, Cologne, Aix-la-Chapelle, les Ducs de Luxembourg et de Limbourg, participent à « la curée ». La petite Principauté ardennaise a toujours souffert de l’absence d’une force armée capable de défendre son droit.

Lantremange au sein d’une contestation

En 1701, la Principauté de Stavelot adresse un recours au Haut-Directoire du Cercle de Westphalie, afin de défendre Lantremange et d’autres villages contre l’usurpation du Prince-Evêque de Liège. Ce dernier sera débouté.

Mort d’Albéric II de Dammartin

En 1193, le Comte DE DAMMARTIN Albéric II est tué en Croisade, dans la Cité de Saint-Jean d’Acre. Le Pape lui avait envoyé un gonfalon pour ses armes, pour avoir défendu l’Eglise.

(Un gonfalon est un étendard à 2 ou 3 fanions, sous lequel se range un vassal appelé par un suzerain.)

L’avoué au 11ème siècle (Waremme – Liège)

Au 11ème siècle, un avoué est un seigneur auquel une institution religieuse (cathédrale, collégiale, abbaye, …) ou un propriétaire de grands domaines, confie la défense de ces domaines.

Son devoir est de protéger les personnes contre tout acte de violence et les biens contre toute usurpation. Il peut ainsi repousser la force par la force, car l’action des Cours de Justice ne suffit pas pour assurer la sécurité des individus et la conservation des propriétés.

Alain Jacquemin, représentant de la SABENA (Waremme)

En janvier 1970, JACQUEMIN Alain, natif de Waremme, devient un représentant de la SABENA à l’étranger. Son travail consiste à défendre les intérêts commerciaux et opérationnels de la compagnie dans des pays étrangers. Il exercera cette fonction jusqu’en novembre 1996 (26 ans et 11 mois).

Edmond Leburton, décoré (Waremme – Yougoslavie)

En novembre 1988,le ministre d’Etat, LEBURTON Edmond, reçoit des mains de l’ambassadeur de Yougoslavie l’Ordre de l’Etoile Yougoslave avec la couronne d’or.

Cette décoration symbolise la profonde reconnaissance témoignée par la Yougoslavie à un homme qui n’a eu de cesse de défendre et d’aider ce pays socialiste, non aligné et autogestionnaire dont les différents aspects sont trop peu connus.

Tournoi du Centre Libéral d’Actions Scolaires (Waremme)

Le 14 novembre 1986, l’ASBL « Le Centre Libéral d’Actions Scolaires Edmond de Sélys-Longchamps », qui a pour but la défense et l’encouragement de l’enseignement officiel, organise un tournoi interscolaire de chant choral, à Waremme.

Concours du Centre Libéral d’Actions Scolaires (Waremme – Hesbaye)

En 1985, l’ASBL « Le Centre Libéral d’Actions Scolaires Edmond de Sélys-Longchamps », qui a pour but la défense et l’encouragement de l’enseignement officiel, organise un concours de montage audio-viduel sur le thème: « Hesbaye – Haspengouw ».

Concours du Centre Libéral d’Actions Scolaires (Waremme)

En 1984, l’ASBL « Le Centre Libéral d’Actions Scolaires Edmond de Sélys-Longchamps », qui a pour but la défense et l’encouragement de l’enseignement officiel, organise un grand concours de composition française.