Fernand Magnée et ses patientes, sauvés (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.

 

Le notaire Léon Sény (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe devant le Café « Aux Sports », rue Joseph Wauters à Waremme, le notaire SENY Léon est conscient, debout, enfoncé jusque la taille dans les débris. Il est presque méconnaissable, criblé d’une multitude d’éclats. Il est bloqué par une grosse poutre. DUMONT Ernest et DORMAL Charles tenteront de le dégager.

Nouveaux raids aériens sur Waremme

Le 1er septembre 1944, des locomotives amènent des grues de Schaerbeek et de Liège pour dégager la voie. A 10 heures, quatre P-47 Thunderbolt arrivent de leur base de Duxford et attaquent ces convois à la mitrailleuse.

La ligne Bruxelles-Liège est dégagée (Waremme)

Le 14 août 1944, la voie de chemin de fer Bruxelles – Liège est finalement dégagée par une grue. Des Résistants, membres du Groupe « Otarie », ont bien tenté de dynamiter l’engin de levage, mais sans succès.