En 1902, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives » est caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe ». le site est devenu un repaire à lapins, qui causent également des dégâts aux cultures voisines. Il risque de disparaître.
De 1879 à 1880, l’hiver est particulièrement rigoureux dans la région de Waremme. Il cause d’importants dégâts aux arbres.
Le 9 juillet 1952, un terrible orage éclate sur la région de Crisnée. La foudre endommage le clocher des églises de Thys et de Crisnée.
Dans la nuit du 21 décembre 1944, une bombe volante V1 allemande s’écrase et explose dans un potager à Crisnée, au coin des rues de Thys et des Vergers, entre les maisons SCHOENAERS, MEUWIS et RENOTTE, creusant un cratère de 3 mètres de profondeur et de 7 mètres de diamètre. Il n’y a que quelques blessés, mais de gros dégâts matériels aux immeubles.
Le 13 mai 1940, des tirs trop longs de l’artillerie du fort de Flémalle éclatent à Crisnée et criblent d’éclats les maisons BRASSEUR et HUBART.
En janvier 1651, des Lorrains membre de la « Fronde » contre le Roi de France LOUIS XIV, réfugiés au château de Hollogne-sur-Geer, avec à leur tête le Baron DE VALENGRIN, sont assiégés par les troupes liégeoises commandées par les généraux SCHROETS et FLERON DE MEIN. Le château subit des dégâts.
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la queue d’une bombe volante allemande V1 atterrit dans la cour de la ferme de MARCHAL Théophile, à Oreye, occasionnant de nombreux dégâts à l’habitation. Les portes et les fenêtres volent en éclats. Mais il n’y a ni mort, ni blessé.
Le 5 septembre 1944, des soldats allemands occupent la place de l’église à Viemme et y font éclater des obus qui occasionnent des dégâts à la tour de l’église, au clocher, aux fenêtres et aux vitraux.
Le 5 août 2017, un incendie se déclenche dans le salon d’une habitation de la rue de la Westrée, à Oreye. Les pompiers de la zone de Waremme doivent intervenir, mais les dégâts sont limités.
Le 18 mai 1867, le Conseil Communal de Waremme constate que les péages perçus sur les voiries de la commune ne suffisent pas à la réparation des dégradations causées à celles-ci par les charrois des sucreries. Il décide donc de maintenir les impositions établies à leur charge, malgré leur réclamation.