La Place des Fabriques rebaptisée Place Ernest Rongvaux (Waremme)

En 1947, la Place des Fabriques, située devant la gare, jusque là propriété de l’Etat, est reprise par la ville et est réaménagée. Elle porte désormais le nom d’Ernest Rongvaux, Ministre des Communications de l’époque, qui, dès le lendemain de la guerre, s’est attelé à la réorganisation du réseau ferroviaire et à la restauration de ce quartier de la ville, fortement endommagé par l’intense charroi militaire américain, dans les mois qui ont suivi le Libération.

Les Allemands font exploser une bombe tombée dans les premiers jours de la guerre (Waremme)

Le 6 septembre 1940, au numéro 2 de la rue du Tumulus à Waremme, les Allemands font exploser une bombe tombée le 11 mai dernier. L’explosion occasionne des dégâts aux jardins HOUGARDY et LOYAERTS François.

Des obus sur Waremme

Le 13 mai 1940, des projectiles atteignent Waremme. Un obus explose à la râperie et occasionne d’importants dégâts.

Les Etablissements Doyen paient leur collaboration avec les Allemands (Waremme)

Après la libération de la ville, une partie de la population waremmienne s’acharne sur l’entreprise de machines agricoles « Les Etablissements DOYEN », situés près de la gare. Ces habitants veulent s’en prendre à ceux qui ont collaboré économiquement avec l’occupant. Les dégats sont considérables.

Les habitants des villages proches de Waremme veulent également être indemnisés

En 1746, les habitants des villages voisins se plaignent auprès de la Cour de Justice de Waremme, de n’avoir reçu aucune compensation pour les fournitures faites aux troupes qui ont stationné sur leur territoire : les troupes du Prince Charles et les troupes de France, ainsi que pour les dégâts occasionnés par celles-ci.

25.000 soldats bivouaquent près de Waremme

Le 23 juin 1690, l’Electeur de Brandebourg dresse ses tentes entre Waremme et Hollogne, avec 25.000 à 30.000 hommes et beaucoup de matériel. Il va y rester trois jours, en commettant les habituels dégâts des armées en bivouac.

Des dégâts à l’Hôtel de Ville (Waremme)

Le 14 mai 1679, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme constate des dommages à la Chambre louée à BUISSON Libert, à l’Hôtel de Ville de Waremme. Elle renonce cependant à lui demander réparation, car des dommages ont été causés par des soldats.