En septembre 1675, le Comte DE CORSWAREM Jean II fait partie de la délégation adressée à DESCARRIERES, résident français à Liège, pour qu’il soit mis fin aux exactions des troupes françaises en Hesbaye.
En juin 1675, le Comte DE CORSWAREM Jean II et le Baron DE LAFOSSE sont envoyés à Bruxelles pour que la liberté de commerce soit maintenue et les forteresses restituées.
Le 9 février 1674, une délégation de la Principauté de Liège est envoyée à Malines, auprès du Comte DE MONTERY, afin d’obtenir le respect de la neutralité promise par l’Empereur. Elle est notamment composée de:
Le 12 septembre 1458, DE CORSWAREM Arnould VI et son frère DE CORSWAREM Walter font partie de la délégation des lignages de la Principauté de Liège, chargée de conclure la Paix avec les émigrés liégeois, soutenus par le Roi de France LOUIS XI.
Le 5 avril (mai ?) 1905, le Prince Albert, futur « Roi Chevalier », visite les usines MELOTTE à Remicourt, fleuron de l’industrie nationale et même européenne, où sont appliquées des méthodes d’organisation ultra-modernes.
Ces méthodes intéressent une délégation américaine qui visite également l’usine et les loue chaleureusement.
Le 17 août 1927, le Waremmien WAUTERS Joseph se rend au Brésil. Il est délégué belge à la Conférence Interparlementaire du Commerce, avec LAFONTAINE, VINCK et HENNEBICK.
Il profite de cette circonstance pour visiter le pays. Il en ramènera un reportage qui sera publié dans le journal « Le Peuple », sous le titre « Choses et Gens du Brésil ».
En 1696, le Comte DE HOEN Eugène-Albert, Haut-Voué de Crisnée, donne commission (délégation ?) à DE RIJKMAN, ancien capitaine au service du Prince-Evêque de Liège.
Vers 1307 (?), une chapelle est construite au Manil, dans l’intérêt d’une section de la paroisse de Darion. Cependant, l’église de Darion conserve la plénitude de sa juridiction, dans toute la circonscription paroissiale. La chapelle ne lui vient en aide, par une sorte de délégation, que pour certains services religieux.
En 1343, DE HARDUEMONT Godefroid, fait partie de la délégation envoyée par les Hutois au Duc DE BRABANT, pour obtenir sa protection contre le Prince-Evêque de Liège DE LA MARCK Adolphe, avec lequel ils sont en conflit.
Sous le Régime Carolingien, l’avoué se voit déléguer la « discretio », pouvoir de contraindre qui lui permet, entre autres:
Dans certains cas, il officie même en qualité de juge, par délégation du seigneur (mais uniquement dans les affaires mineures).