Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)

Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.

Crisnée voudrait un arrêt du vicinal

Le 24 janvier 1885, le conseil communal de Crisnée prie la SNCV d’établir une ligne de tram vicinal d’Ans à Waremme, via Alleur, Othée, Crisnée, Oreye et la vallée du Geer, étant entendu qu’un point d’arrêt soit réservé à Crisnée, au lieu-dit « Aux Croix ».

Crisnée doit participer aux frais de Fize-le-Marsal

Le 13 septembre 1324, LI BLAVENIES Renier et HANOTIAS Jean, mambours de l’église et de la paroisse de Fize-le-Marsal, demandent à l’archidiacre de Liège de convaincre les habitants de la paroisse de Crisnée, filiale de celle de Fize-le-Marsal, de payer leur quote-part dans les frais de réparation de la tour et des murs de l’église de Fize-le-Marsal, puisque tel est l’usage.

L’abattoir communal de Crisnée

Le 15 (?) octobre 1940, les bouchers de Crisnée demandent au Conseil Communal du village de désigner comme abattoir communal provisoire, la tuerie particulière de MARNEFFE Hubert et de désigner l’expert en viandes MERCIER (?) comme directeur.

Le tram passera à Crisnée

Le 24 janvier 1885, le conseil communal de Crisnée demande à la Société des Vicinaux d’étudier la création d’une ligne vicinale entre Ans et Waremme, avec un point d’arrêt au lieu-dit « Aux Croix », à Crisnée.

Hubert Rome, prolonge sa convalescence (Momalle)

Le 24 Pluviose de l’An XIII, le Major du 96ème Régiment d’Infanterie de Ligne écrit au Préfet DESMOUSSEAUX pour l’informer que le nommé ROME Hubert, de Momalle, soldat de son régiment, a obtenu une convalescence pour se rendre dans son village, à dater du 1er Messidor de l’An XII jusqu’au 10 Vendémiaire de l’An XIII, mais qu’il n’est pas encore de retour au Régiment. Le Major demande au Préfet de faire prévenir l’intéressé que s’il n’est pas de retour sous les drapeaux dans les 15 jours, il le dénoncera à la Gendarmerie pour le faire poursuivre et juger comme déserteur.

La communauté doit vendre des terres (Thys)

Le 8 février 1676, pour satisfaire aux contributions demandées par les troupes étrangères logées au Pays de Liège et au Comté de Looz, la communauté de Thys doit vendre des terres au Seigneur du lieu, D’EYNATTEN J.-J., pour 1250 florins brabant, plus une rente de 40 florins.

Les habitants veulent récupérer un jardin (Thys)

En 1665, la communauté de Thys réclame au curé du village, un petit jardin situé entre sa maison et la « Coutegarde », qu’elle lui a prêté.

L’abbé de Wanzoulle, Seigneur (Thys)

Le 10 mai 1709, par testament, le Seigneur de Thys, l’abbé D’EYNATTEN Charles, demande une sépulture à Thys et institue comme héritier universel l’abbé DE WANZOULLE Barthold, chanoine de la Cathédrale et abbé séculier de l’église collégiale d’Amay. Ce testament révoque celui qui se trouvait dans les mains de VANDERHEYDEN A BLISIA Lambert.

Le bourgmestre veut ouvrir une sucrerie (Omal)

Le 26 septembre 1870, le conseil communal d’Omal examine la demande de son bourgmestre, POLET Jean-Baptiste, (via sa société « Jean-Baptiste Polet et Cie »), qui sollicite l’autorisation d’établir une fabrique de sucre à Omal, sur une terre de 3 ha lui appartenant, située à l’entrée du village le long de la Chaussée Romaine. Il désire également y construire une maison.