En avril 1255, l’abbé Gilles (?) est curé (vesti ?) de Fize-le-Marsal. Il a un bénéfice de 10 mars 3 sous 2 deniers.
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Biens en lansage pour Fastré de Berlo (Waremme – Liège)
Le 24 octobre 1281, l’Official de Liège « Sede Vacante » fait savoir que le chapitre de Sainte-Croix a donné en lansage (?) perpétuel (location héréditaire ?), au chevalier DE BERLO(Z) Fastré, fils de feu DE BERLO(Z) Eustache:
- un moulin sis à Waremme, près du pont, avec la cour et le « stal » de brassine qui y joignent
- le stal de brassine de Longchamps, avec la maison et la cour adjacentes
- deux bonniers et demi de terres arables sis à Berloz, mouvant de la cour de l’abbé de Saint-Trond à Berloz
- quatre muids d’épeautre de rente à Oleye
moyennant 20 muids d’épeautre de Hesbaye, huit chapons et dix deniers annuellement.
Les biens de l’église vendus (Hesbaye liégeoise – Waremme)
Du 1er Ventôse de l’An V (19 février 1797) au 1er juillet 1808, des biens du clergé et de corporations religieuses, mis sous séquestre par le nouvel Etat Français, sont mis en vente pour remédier à la pénurie d’argent causée par la guerre civile et les guerres à l’extérieur. Un certain nombre d’entre eux sont rachetés par des (anciens) religieux ou par des prête-noms qui agissent en leur nom. Dans la région de Waremme, sont notamment vendus:
- Une ferme située à Momalle, comprenant 77 bonniers 6 verges grandes de terres et prairies. Elle est adjugée le 16 Ventôse de l’An V, au citoyen WARNOTTE D. D., ancien religieux, et à d’autres (?), pour 3.503 livres 17 sous et 6 deniers.
- Une ferme située à Geer, comprenant 133 bonniers 15 verges grandes 0,75 verge petite de terres et 5 bonniers 13 verges grandes de prairies. Elle est adjugée le 27 Germinal de l’An V, au citoyen PAQUO, ancien abbé de Flône, pour 154.000 francs.
- Une ferme située à Hemriquette, sur la commune de Waleffe-Saint-Georges, comprenant 113 bonniers de terres et 7 bonniers de prairies. Elle est adjugée le 2 Floréal de l’An V, au citoyen SONDELET P., ancien frère carme, pour 242.000 francs.
- Le couvent des Récollets de Waremme, l’église, le jardin et une prairie d’un bonnier 15 verges grandes 13 verges petites. Le tout est adjugé le 2 Floréal de l’An V, au citoyen MATHY G. J., ancien religieux du couvent, pour 12.150 francs.
- Une ferme située à Roloux, comprenant 31 bonniers 2 verges grandes de terres et 4 bonniers 2 verges grandes de prairies. Elle est adjugée le 12 Prairial de l’An V, à BOGAERTS Jean-Michel, ancien frère chartreux, et d’autres (?), pour 84.000 francs.
Le frère Warnotte rachète une ferme (Momalle)
Le 16 Ventôse de l’An V (6 mars 1797), le citoyen WARNOTTE D. D., (ancien) religieux, et d’autres (?) rachètent une ferme située à Momalle, comprenant 77 bonniers 6 verges grandes de terres et prairies, pour 3.503 livres 17 sous et 6 deniers.
Résolution du conflit entre le Seigneur et l’avoué (Hodeige – Liège)
Le 20 septembre 1248, le Prince-Evêque de Liège, DE GUELDRE Henri, publie la sentence par laquelle des arbitres fixent les droits de l’avoué de Hodeige, DE HODEIGE Navekin.
Les arbitres sont:
- DE SOLIER Lambert, maréchal du Prince-Evêque
- DE MARNEFFE Aubert
- DE CENFONTAINES Boniface, chevalier
L’avoué DE HODEIGE Navekin doit percevoir 12 deniers pour chaque location de terre, ainsi que pour le placement de chaque borne séparatrices des terres. Pour chaque connaissance faite à la Cour de Justice de Hodeige, il aura 2 deniers. Lorsqu’un arbre tombera sur le chemin par l’effet de la vieillesse ou d’une tempête, il sera la propriété de l’avoué.
Par contre, il ne pourra plus rien exiger ni rien prendre, sur les biens du Chapitre de Saint-Denis, ni sur ceux des manants de la ville de Hodeige.
L’avoué doit jurer sur l’honneur de tenir l’engagement pris.
Les revenus du curé (Hodeige)
En 1815, les revenus de la cure de Hodeige s’élèvent à 64 muids 1 setier. Il a, en outre, 104 deniers fortis de rente et 36 florins 94 sous.
Les revenus du curé (Hodeige)
En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.
L’obole à Notre-Dame (Thys – Tongres)
De 1550 à 1771, l’obole banale de l’église de Thys à Notre-Dame de Tongres s’élève à 7 deniers.
L’obole à Notre-Dame (Thys – Tongres)
En 1500, l’obole banale de l’église de Thys à Notre-Dame de Tongres s’élève à 6 deniers.
L’obole à Notre-Dame (Thys – Tongres)
En 1454, l’obole banale de l’église de Thys à Notre-Dame de Tongres s’élève à2 deniers.