En 1815, les revenus de la cure de Hodeige s’élèvent à 64 muids 1 setier. Il a, en outre, 104 deniers fortis de rente et 36 florins 94 sous.
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Les revenus du curé (Hodeige)
En 1786, le curé de Hodeige perçoit le revenu de 14 bonniers, 18 verges grandes et 12 petites, ainsi que 60 muids 7 setiers d’épeautre et 46 florins 19 sous et 267 deniers fortis de rente. En outre, chaque communiant de la paroisse lui offrir 7 oeufs le Jeudi-Saint.
Les revenus du curé (Hodeige)
En 1528, les revenus annuels de la cure de Hodeige, sans compter le « casuel », s’élèvent à 120 muids d’épeautre, plus environ 200 deniers fortis de rente.
Rigald de Hemricourt, brasseur
En 1501, DE HEMRICOURT Rigald exploite la brassine, située devant le pont à Hemricourt. Précédemment, elle a été exploitée par DE PONT Rennechon.
Il paie une redevance de 6 deniers fortis et 8 chapons.
Pirard Lefevre, brasseur (Hemricourt)
En 1393, LEFEVRE Pirard exploite la brassine, située devant le pont à Hemricourt.
Il paie une redevance de 4 deniers fortis et 8 chapons.
La Seigneurie de Hemricourt
En juin 1632, la Seigneurie de Hemricourt (Remicourt) consiste en une haute, moyenne et basse justice; une maison-forte (château ?) et ses cour, jardin, prés, terres, rentes et cens; les banalités du moulin, de la brasserie et du four. La superficie est d’environ 100 bonniers. Les rentes s’élèvent à 35 muids d’épeautre, 66 chapons et 238 deniers fortis.