Georges Brilliet, dentiste (Waremme)

En 1954, le cabinet de dentiste de BRILLIET Georges est installé au n° 2 de la rue Gustave Renier, à Waremme.

Les dentistes de Waremme

En 1954, les dentistes de Waremme sont:

  • BRILLIET Georges, au n° 2 de la rue Gustave Renier
  • DUBOIS Paul, au n° 68 de la rue Porte de Liège
  • MAGNEE Fernand, au n° 10 de la rue Porte de Liège

Marie-Louise Durant, dentiste (Limont)

En octobre 1937, DURANT Marie-Louise, médecin qui s’est spécialisé dans les soins dentaires, achète une belle propriété à la sortie du village de Limont. Son marie est DE LIL Emile.

Joseph Angenot, médecin-dentiste (Waremme)

Vers 1920, le médecin de Waremme, ANGENOT Joseph, s’est spécialisé en dentisterie. Son cabinet se trouve au n° 38 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.

La dépouille de Charly Lambert, au Collège (Waremme)

Le 30 août 1944, la dépouille du dentiste LAMBERT Charly, décédé lors du bombardement de la ville, est ramenée dans la grande salle du Collège Saint-Louis de Waremme.

Fernand Magnée, dentiste (Waremme)

En 1935, le dentiste MAGNEE Fernand exerce rue Gustave Renier à Waremme, dans la maison de l’architecte GONTHIER Richard, dont il a loué une partie du rez-de-chaussée. Le cabinet se trouve à l’arrière et la salle d’attente à l’avant, sur la rue. Il a apposé une plaque en cuivre sur la façade, à droite de la porte d’entrée.

Fernand Magnée et ses patientes, sauvés (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.

 

Mort de Charly Lambert (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe devant le Café « Aux Sports », rue Joseph Wauters à Waremme, le corps du dentiste LAMBERT Charly est retrouvé dans l’embrasure de la porte qui sépare les deux caves arrières du café. Les seuls signes de blessure sont un petit trou au niveau de la pommette droite et un filet de sang coagulé, qui s’étire sur sa joue. Il était âgé de 26 ans.

Le Café « Aux Sports » est dévasté (Waremme)

Le 28 août 1944, une bombe explose devant le Café « Aux Sports » rue Joseph Wauters, à Waremme. Des occupants sont touchés:

  • BIERNA Henri a été atteint par une volée d’éclats au niveau de la taille et est décédé instantanément.
  • BRASSINE Albert, qui s’était réfugié sous la banquette, est indemne.
  • DUBOIS Paul, le dentiste est blessé à la jambe. Son visage est criblé d’éclats de verre. Ses vêtements sont déchirés et couverts de sang. (Il était dans la cave).
  • EVRARD Paul a été propulsé dans le mobilier du café. Il a le crâne ouvert sur plusieurs centimètres. Il est coincé sous une grosse poutre.
  • FARCY Alice a perdu connaissance au moment de l’explosion (elle restera inconsciente pendant plusieurs minutes). Elle est presque nue, son chemisier a complètement disparu et sa jupe est en lambeaux. Elle est brûlée à la cuisse. Elle éprouve des difficultés à ouvrir un de ses yeux. BIERNA Henri est à moitié couché sur elle.
  • GLADE Joseph, dit « Paille », a également été projeté sous la banquette. Il a perdu connaissance. Il est recouvert par un amas de débris.
  • HEYNE Léon a été projeté dans le petit couloir qui mène aux toilettes. Il a reçu un éclat dans la jambe et est couvert d’ecchymoses sur tout le corps.
  • JAVAUX Martien a une profonde blessure au menton. De plus, une brique l’a violemment heurté à la clavicule.
  • LANGE Félix est complètement défiguré par les éclats de verre. Son oeil gauche saigne abondamment.
  • LECLOUX Joseph a plongé sous la banquette. Ses vêtements ont été arrachés, il ne lui reste que des lambeaux de caleçon. Il a des ecchymoses sur tout le corps.
  • MASSILLON Emile s’est réfugié dans le couloir menant aux cuisines. Il a été frappé par de nombreux éclats de verre.
  • NOBEN Albert, par contre, a été projeté sur la banquette. Il est décédé.
  • PAQUES Henri a été projeté vers le fond du café. Son bras droit est gravement touché.
  • PIQUET Georges est recouvert de planches et de débris. Il est criblé d’éclats de verre, provenant de l’éclatement de la vitrine. Le sang inonde sa chemise. Son pantalon est déchiré de bas en haut. Ses lunettes ont disparu.
  • RAMQUET Jules a le visage criblé d’éclats de verre. Il saigne abondamment. (Il était dans la cave).
  • YANS Arthur a été foudroyé par plusieurs éclats à la tête et au dos. Il est décédé.

Le Café « Aux Sports » (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la première bombe à Waremme, un certain nombre d’occupants du Café « Aux Sports » se réfugient dans le cellier du bâtiment:

  • DUBOIS Paul, dentiste
  • DARBE Paul
  • CHABOT Léon
  • BEAUDUIN Armand
  • GENIQUE Joseph
  • LAMBERT Jules
  • GRANDJEAN Henri
  • LAMBERT Charly
  • RAMQUET Jules
  • HEYNE Jules
  • MOUREAU Jeanne, l’épouse du patron du café HEYNE Léon
  • MOUREAU Thérèse, dite « Mamme Tîne »

D’autres restent dans le café:

  • JAVAUX Martien
  • YANS Arthur
  • NOBEN Albert
  • LANGE Félix
  • PIQUET Georges
  • SENY Léon, notaire
  • GLADE Joseph, dit « Paille »
  • FARCY Alice
  • BIERNA Henri
  • MASSILLON Emile
  • LECLOUX Joseph
  • EVRARD Paul
  • HEYNE Léon
  • PÂQUES Henri
  • BRASSINE Fernand