En septembre 2021 et avril 2024, l’entreprise de systèmes d’alarme « Pro Security » est installée au n° 2 de la rue du Marais à Faimes:
- placement
- entretien
- dépannage
Elle est exploitée par STAMANNE Geoffrey.
En septembre 2021 et avril 2024, l’entreprise de systèmes d’alarme « Pro Security » est installée au n° 2 de la rue du Marais à Faimes:
Elle est exploitée par STAMANNE Geoffrey.
En décembre 2013 et juin 2014, l’électricien MISSAIRE David exploite l’entreprise d’électromécanique « DM », installée au n° 43 de la rue des Ecoles à Berloz:
En décembre 2013, l’entreprise de travaux de toitures, la SPRL « Abri-Toit HERCK » est installée au n° 29 C de la rue Joseph Noville à Waremme:
En 1954, le garage LEFEBVRE Jean est installé au n° 12 de la rue du Baloir, à Waremme.
Il est agence officielle des marques « Austin », « Plymouth » et « Chrysler ». Il propose une gamme complète de voitures et de camions.
Il assure le dépannage jour et nuit.
Il est également station-service et vend du carburant, de l’huile et des pneus.
En 1954, la Maison « Hella Frères » est installée au n° 25 de l’avenue des Platanes, à Waremme. Son numéro de téléphone est le 329.20
Elle vend:
Elle assure des dépannages d’appareils de toutes marques.
En juin 2016, l’entreprise de chauffage, poêlerie et sanitaire, la SPRL « RG Chauffage » est installée au n° 114/E Grand Route, à Crisnée.
Elle est active dans la vente, l’installation, l’entretien et le dépannage de:
En janvier 1952, STREEL Ernest est électricien au n° 2 de la rue du Parc à Petit-Axhe. Il exploite une entreprise de vente et de dépannage de moteurs électriques pour éclairage, force motrice, groupe moto-pompe, radio.
En 1954, le garage « Bellefroid » est installé au n° 30 de la rue Emile Hallet, à Waremme. Il assure l’entretien et la réparation des véhicules de toutes marques. Il assure le dépannage jour et nuit.
Il vend des motos et vélomoteurs. Il vende des scooters « Lambretta ».
En 1940, lorsque les troupes allemandes s’installent à Waremme, les ingénieurs d’Outre-rhin comprennent immédiatement tout l’intérêt que peut représenter l’entreprise MOES de fabrication de moteurs, pour l’économie de Troisième Reich.
Bien que les Ateliers MOES évitent de produire plus qu’il n’est strictement nécessaire pour rester crédibles, les autorités allemandes leur accordent beaucoup de liberté pour engager de la main d’œuvre locale. C’est ainsi que, grâce à la complicité de la direction de l’usine, ne nombreux Hesbignons se soustraient au travail obligatoire en Allemagne, en invoquant l’intérêt de la construction et du dépannage des locomotives de mines.