Coup dur pour la commune d’Oreye

Le 23 février 2016, la sucrerie « Beneo Orafti », d’Oreye, obtient une révision de son revenu cadastral, de 700.000 à 400.000 euros. Cela entraîne une importante diminution des recettes communales. Avec l’effet rétroactif, la commune doit rembourser un total de 2,4 millions d’euros. 

Tous les départements de la commune devront faire des économies.

Réforme administrative (Waremme – Belgique – France)

Le 17 février 1800, une réforme administrative est votée en France. Désormais, chacun des 9 départements « belges » est administré par un préfet, nommé par le pouvoir central.

A l’échelon inférieur:

  • Les arrondissements sont dirigés par un sous-préfet désigné par le gouvernement, sur proposition du préfet.
  • Les communes de plus de 5.000 habitants sont dirigées par un maire, désigné par le gouvernement.
  • Les communes de moins de 5.000 habitants sont dirigées par un maire, désigné par le préfet.

Le « Pays de Liège » français

Le 1er (10 ?) octobre 1795, un décret de la Convention française réunit le « Pays de Liège » et la Principauté de Stavelot-Malmedy à la France.

Il soumet les habitants de ces régions aux droits et devoirs des citoyens français. Il divise ces territoires en départements. Il supprime les lignes de douane.

La Belgique est divisée en 9 départements. Une nouvelle administration est mise en place. Elle fait table rase de tous les privilèges et franchises des villes et bourgs. Les seigneuries disparaissent et avec elles, les seigneurs, les mayeurs et les échevins de l’Ancien Régime.

Le Pays de Liège fait partie du département de l’Ourthe (divisé en 6 arrondissements judiciaires).

Réorganisation de l’école (Waremme – Belgique)

En 1797, une loi française de 1795 (3 Brumaire de l’An IV) est appliquée en Belgique et dans la région de Waremme.

Elle prévoit la création de nouvelles écoles dans les départements annexés. Les dirigeants républicains veulent, pour le bien-être et la gloire de la République, ériger de nouvelles écoles qui propageront les principes de liberté, d’égalité et où la morale républicaine se substituera au catéchisme. Cette loi prévoit que la nomination des enseignants échappe aux municipalités, qui ne peuvent formuler que des propositions. Cette loi va rencontrer l’opposition d’une part importante de la population, qui reste attachée à l’ancien système scolaire.