Le 30 avril 1761, DE CORSWAREM Joseph-Clément confirme la cession, qu’il a faite au Seigneur Duc DE CORSWAREM – DE LOOZ Joseph-Philippe, de tous ses droits, pour rapprocher et purger la terre de Corswarem et le château avec les dépendances et appendances …, et qu’à défaut de successeur mâle dans cette branche, elle soit transmise au plus proche du nom par droit d’aînesse.
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Des cures du Chapitre Saint-Paul (Liège)
Le 18 avril 1192, dans une bulle adressée au Chapitre Saint-Paul de Liège, le Pape CELESTIN XII confirme de la cure de Lamine, avec ses dépendances, à savoir les chapelles de Remicourt, de Pousset, de Bleret et de Hodeige, est bien dans ses possessions.
Waremme, fief liégeois
A partir du XIème siècle (1078), Waremme et ses dépendances constituent des fiefs seigneuriaux de la Principauté de Liège.
Travaux à la ferme en carré de Thys
En 1547, les dépendances de la ferme en carré de la Seigneurie de Thys (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue Joseph Wauters), – masoniages, estaublerye (étables ?), xhura (?) contenant 2 stellées avec 2 chery (?) – sont reconstruites.
La ferme en carré de Les Waleffes
En 1981, la ferme en carré du hameau de Remikette est située à l’Ouest du village de Les Waleffes. Elle dessine un vaste quadrilatère datant en majeure partie du 18ème siècle et jouxtant une petite ferme accolée à un manoir.
Les bâtiments de brique et pierre calcaire sur soubassement de moellons, qui entourent la grande cour semi-pavée, sont couverts de bâtières de tuiles et de tôle ondulée.
L’entrée est prévue au Sud-Est par un portail en anse de panier à claveaux passants un sur deux, surmonté par un œil-de-bœuf.
Côté cour, un simple rouleau de briques, reposant sur des piédroits harpés, forme l’arc. Une bâtière de tuiles sur frise de briques dentées et des pignons débordants marquent le volume du porche.
Un deuxième porche situé dans l’axe du premier, et tout-à-fait semblable, s’ouvre vers les prairies à l’arrière de la ferme.
Occupant le côté du quadrilatère, l’imposante grange en double-large a fait l’objet d’importantes modifications, la toiture a totalement disparu et a été remplacée par de la tôle ondulée. Une porcherie récente est greffée sur son extrémité orientale.
Deux portes charretières, en arc surbaissé et claveaux passants un sur deux, donnent accès à la grange. Des étables en occupent une partie, ouvertes par trois portes à linteau déprimé qui alternent avec des petites fenêtres rectangulaires. Une pierre armoriée (abbesse DE WARNANT Isabelle, 1718), qui ornait la grange a été déplacée et encastrée à gauche du porche d’entrée.
Le logis faisant face à la grange domine l’ensemble des bâtiments par son volume légèrement plus élevé. De deux niveaux et demi sur cave, il est divisé en trois travées formant double-corps et couvert d’une bâtière de tuiles à coyau sur frise de briques dentées et en goutte, percée de deux lucarnes à croupes plus récentes. La porte à baie d’imposte rectangulaire et meneau (?) est surmontée d’une pierre armoriée (abbesse DE BOILEAU Lutgarde, 1733) et encadrée de larges baies à linteau droit. Le deuxième niveau est éclairé par trois fenêtres à meneau protégées par des barreaux. Une petite fenêtre à jambages chaînés s’ajoute à droite.
Accolée à la façade extérieure de ce logis, une imposante habitation du 19ème siècle et ses dépendances font saillie en dehors du quadrilatère.
Les nombreuses étables, couvertes de plafonds plats et de fenils, sont percées de portes à linteau déprimé et clé passante sur queue de pierres, de fenêtres à jambages chaînés et de baies gerbières rectangulaires.
Une belle écurie, couverte de voûtes en briques sur colonnes cannelées en pierre bleue, voisine avec un chartil (transformé en garage) et forme l’angle Sud de l’ensemble.
Enfin, à droite du porche d’entrée, des étables récentes, construites à front de route, nuisent à l’aspect extérieur du quadrilatère.
Le château et la ferme en carré de Saives
En 1981, le complexe de l’ancienne Seigneurie de Saives forme un vaste quadrilatère dont le beau château occupe le flanc Nord-Est. Il se dresse dans un cadre de prairies et de vergers.
En briques et pierres de taille sur soubassement de moellons limité par un cordon en biseau, les bâtiments agricoles sont couverts de bâtières à coyau et croupettes en ardoise et Eternit.
L’accès principal à la cour semi-pavée s’effectue par un passage charretier qui se confond avec l’entrée du château, marquée par une belle porte cintrée, entourée de bossages et surmontée d’une corniche saillante. Une pierre portant les armes des VAN DEN STEEN – MEAN orne le centre de cette porte.
Jouxtant l’imposant volume rectangulaire du château, deux petits bâtiments aux pignons débordants, sans doute destinés aux domestiques, amorçant le U des bâtiments agricoles, opèrent la transition entre ceux-ci et la partie seigneuriale.
Plus bas que le château, ces bâtiments agricoles sont divisés en deux niveaux et éclairés de deux larges fenêtres rectangulaires à croisée de pierre qui encadrent une porte à linteau droit.
Des portes charretières, en arc surbaissé, à claveaux passants un sur deux doublé d’un rouleau de briques sur piédroits harpés protégés par des chasse-roues, s’ouvrent sur les prairies qui entourent la quadrilatère et terminent ces deux ailes. Il faut noter que des marques de pose sont visibles sur les claveaux des portes charretières.
Celles-ci se continuent par des étables couvertes de voussettes de briques et perçées à intervalles réguliers de portes, fenêtres et baies gerbières rectangulaires, à encadrement de pierre de taille.
Face au château, la grange en double-large domine la cour de son volume. Une porte saillante en dehors du quadrilatère la prolonge et forme une deuxième grange en long, divisée en deux nefs de quatre travées. Trois portes, en arc légèrement surbaissé, à claveaux passants un sur deux, doublé d’un rouleau de briques, ouvrent les deux granges.
Une petite cour entourée de murs se greffe à l’extérieur du quadrilatère. A l’intérieur de celle-ci, quelques dépendances et un travail pour ferrer les chevaux.
Restauration du château (Lens-Saint-Servais)
Vers 1975, le château-ferme de Lens-Saint-Servais est restauré, perdant certaines dépendances dont l’état est devenu critique. Cependant, une imposante grange de la fin du 19ème siècle est maintenue.
Le château de Waleffe
A la fin du 17ème siècle, le château de Waleffe est construit. Il est précédé d’une cour d’honneur garnie de nombreux parterres de fleurs et encadrée de dépendances. A proximité, une ferme est entourée de deux tours circulaires, dont l’une constitue le vestige d’un château plus ancien.
La paroisse de Thys
Le 27 décembre 1842, l’évêque de Liège VAN BOMMEL fixe la circonscription de la paroisse de Thys. Elle comprend:
- Le village de Thys
- Ses dépendances de Brouck, de Nomerenge et de Mametou
Le hameau de Thys-sur-Fize est incorporé à la succursale de Fize.
Rénovation du château (Thys)
Au 16ème siècle, le château de Thys est rénové.
Il se dresse sur un escarpement, au pied duquel coule le « R’wa ». Il est contigu à l’église, avec laquelle il communique par 2 entrées. A l’Ouest, il est protégé par un fossé. Il forme corps avec la basse-cour.
L’ensemble se compose de 2 ailes perpendiculaires formant, à l’arrière, une cour complètement fermée par le mur dominant l’escarpement et par l’église. A l’avant, s’étend une cour bordée par les dépendances de la ferme. A l’entrée de la cour se trouve un cachot.