Déplacement de pierres tombales (Jeneffe)

En 1818, le curé de Jeneffe, l’abbé BORMANS Herman, fait renouveler le pavé de l’église du village et fait déplacer les pierres tombales de:

  • DE MONTFERRANT Ermentrude, la veuve de DE JENEFFE Baudouin, châtelain de Waremme, chevalier et maréchal de l’évêché de Liège,
  • MAROIE Marie, épouse d’un autre seigneur de Jeneffe,

et les fait installer à l’entrée de l’église.

Création d’une place publique (Remicourt)

Le 5 septembre 1950, le conseil communal de Remicourt décide de créer une place publique en face de la Maison Communale et de déplacer le Monument (aux Morts ?).

Démolition de la morgue (Remicourt)

Vers 1975 (?), le choeur de l’ancienne église de Remicourt, réaménagé en morgue en 1911, est démoli.

Les pierres tombales qu’elle abrite sont sauvées par une équipe de bénévoles. Elles sont déplacées dans la nouvelle église.

Monument aux Morts de Remicourt

En (?), la commune de Remicourt fait ériger un Monument aux Morts, pour 1.900 francs, au pied de la Maison Communale et entouré d’une grille en fer forgé.

(Il sera plus tard déplacé au centre de l’avenue Maurice Delmotte, ancienne rue du Ruisseau)

Démolition de la morgue (Remicourt)

En (?), la morgue de Remicourt est démolie. Les plaques commémoratives, en l’honneur des citoyens du village morts pour la Patrie durant la Première Guerre Mondiale, qui y sont apposées, sont déplacées à l’arrière du Monument aux Morts.

Elles portent les noms de:

  • BRONCKART Joseph
  • DARTIENNE François
  • DECHAMPS Joseph
  • DELCOMMUNE Raymond
  • HUTOIS Henri

Tragique méprise (Remicourt)

Le 8 août 1914 vers 13h., BRONCKART-NEYS Joseph et DELHALLE-MATHY Lambert, de Remicourt, sont sommés de s’arrêter près du Pont-Bonne, par quelques éclaireurs belges qui se déplacent dans le village pour intercepter les troupes allemandes qui y sont signalées.

BRONCKART Joseph prend peur et s’enfuit en courant. Les soldats belges, pensant qu’il s’agit d’un ennemi, ouvrent le feu. Mortellement touché, il succombera le lendemain matin.

La ferme en carré d’Oreye

Dans la première moitié du 17ème siècle, le Seigneur d’Oreye, le Baron DE BOCHOLT Godefroid, fait construire (ou reconstruire ?) une ferme en carré à Oreye (à l’endroit qui sera bien plus tard la rue des Combattants).

Deux pierres en témoignent:

  • La première porte la date de 1619 et les armes de la famille DE BOCHOLT – GROESBEECK. Elle surmonte le porche d’entrée.
  • La deuxième (copie de l’originale qui a été transportée à l’hôtel DE BOCHOLT à Liège) est visible sous le même porche et porte l’inscription « GODft DE BOCHOLT : ORAY : GRAN ville … GRAND MAIEUR DE LIEGE … DAME MARGARITA DE GROISBECQ : SON : EPOUSE … »

Création de L’Epervier (Waremme)

Fin du XIXème siècle, la société colombophile « L’Epervier » est créée dans la région de Waremme par 2 rentiers, 1 industriel, 1 cafetier, 2 sans profession, 1 commerçant, 2 menuisiers, 2 cultivateurs et 1 employé.

Initialement, son siège se trouve à Hasselbrouck-Corswarem, avant d’être déplacé à l’hôtel « LAVAL » à Waremme.

L’église Saint-Pierre, magasin (Waremme – France)

Le 11 janvier 1794 (?), le général français DIETTMANN réclame l’église paroissiale Saint-Pierre de Waremme pour la transformer en magasin. Le Saint-Sacrement est transporté dans l’église du couvent des Récollets, plus petite, où se tiendront désormais les offices religieux, jusqu’en 1804.

Notre-Dame de Hollogne

En 1647, le jour de la Sainte-Trinité, l’image de « Notre-Dame des Anges » est portée en procession du château à l’église de Hollogne-sur-Geer. Le Seigneur du village est DE SERAIN Godefroid.