Des instructions pour la reprise de Waremme

Le 6 septembre 1944, REYNTENS Louis ordonne à NELIS Gaston, dit « Joseph », de prendre le contrôle de Waremme, avec un groupe de dix hommes et quatre gendarmes.

  • Il devra contrôler les points stratégiques: le carrefour du Centre, la centrale téléphonique, la gare, l’Hôtel de Ville, la gendarmerie.
  • Il devra veiller à rétablir les administrations telles qu’elles fonctionnaient le 10 mai 1940.
  • Il devra contenir tout désordre, spécialement les violences envers les collaborateurs (pour éviter le renouvellement de « l’Affaire Doyen »). Dans la mesure du possible, ceux-ci seront incarcérés à l’Hôtel de Ville, pour les mettre à l’abri des exactions.
  • Il devra prendre les dispositions nécessaires pour éviter le pillage des magasins et des habitations appartenant à ces collaborateurs.

LEBURTON Edmond désigne les hommes mis à la disposition de NELIS Gaston:

  • BOURS Jean
  • GODBILLE Maurice
  • HERCKENS Jules
  • LEJEUNE René
  • MISSOTTEN Hubert
  • MOUREAU Edmond
  • PAPY Justin
  • SAUWENS André
  • THOMAS Jean-Baptiste

Avant l’opération, le groupe va se cacher dans la ferme de DOUCET Jules.

Le Prince-Evêque entérine la décision du Baron (Waremme – Liège – France)

Le 21 août 1746, le Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Jean-Théodore, édicte un mandement confirmant l’arrangement fait la veille à Waremme, par le Baron DE FREGVAL, commissaire des guerres, pour prévenir le désordre et connaître au juste ce qui a été pourvu aux troupes françaises.

Des soldats sèment le désordre (Waremme – Oleye)

En mars 1814, des soldats cantonnés à Oleye viennent semer le désordre à Waremme, briser des vitres et menacer les habitants.

Waremme sera indemnisée pour les frais occasionnés par les troupes

jean-théodore de bavière prince-évêque de liège

jean-théodore de bavière prince-évêque de liège

Le 21 août 1746, un mandemant du Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Jean-Théodore, confirme l’arrangement fait la veille par le Baron FREGVAL, commissaire des guerres, à Waremme, pour prévenir le désordre et connaître au juste ce qui a été fourni aux troupes françaises.