Baudouin 1er de Jeneffe retrouve et arrête un meurtrier

Le 7 novembre 1225, le Comte D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric, seigneur de Nienbrugge, avec une bande de ses gens, massacre lâchement, dans un guet-apens, au milieu d’un voyage, son cousin DE BERGHES Englebert, archevêque de Cologne.

Pour ce crime, le meurtrier est cité devant la Cour de HENRI, roi des Romains, fils de l’Empereur FREDERIC, où il est condamné (par contumace) par le jugement des princes de l’Empire. Les châteaux et maisons du condamné sont rasés de fond en comble et ses biens confisqués. Lui-même, errant et fugitif, est banni de la compagnie des fidèles. Le hasard de sa fuite l’amène à Huy où, sous des habits de marchands, il espère échapper aux recherches de ses juges.

Mais, en 1226 (?), DE JENEFFE Baudouin a vent de sa retraite et s’empare de lui et de 2 de ses complices. Il le conduit, enchaîné, à Visé où il le remet au souverain avoué de Cologne et aux autres barons, qui le gratifient de 2.100 marcs. Ceux-ci ramènent D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric à Cologne, lié sur un cheval, à travers les bourgs et les villages. Après avoir avoué son forfait, il supporte avec courage les supplices qu’il a mérité: on lui brise bras et jambes; il est ensuite exposé sur une haute potence; enfin, il est roué (la roue d’airain est dressée sur une colonne, hors de la porte Saint-Sevrin).

Tremblement de terre à Skopje (Macédoine)

En 1963, un séisme détruit une grande partie de la ville macédonienne de Skopje. Il y a plus de 2.000 victimes.

La fin des remparts ? (Waremme)

En 1907, le programme électoral du Parti Ouvrier Belge (POB) de Waremme prévoit la destruction et le terrassement des remparts.

Les « profiteurs » et « collabos » au pilori (Waremme)

Les 23 et 24 novembre 1918, la population de Waremme traque les « collabos » et les « profiteurs », ceux qui sont perçus comme s’étant compromis avec l’ennemi ou ayant bâti leur fortune sur le dos de la population.

Cette justice populaire se déchaîne alors que la gendarmerie ne s’est pas encore réinstallée dans la ville. Des maisons sont pillées et du mobilier détruit. Elle ne fera cependant pas de victime.

10 dossiers seront introduits au tribunal des dommages de guerre pour obtenir des indemnités, dont le dossier « DOYEN »

Incendie à Waremme

Le 17 avril 1828, un incendie détruit 4 maisons à Waremme. Celles-ci sont assurées.

Lambert Schoenaers, blessé (Crisnée)

En décembre 1944, la maison de SCHOENAERS Lambert, située au n° 2 de la rue des Vergers à Crisnée, est détruite par une bombe.

Il a les deux pieds écrasés par l’effondrement de l’immeuble.

Destructions à Waremme

De 1914 à 1918, durant la première Guerre Mondiale, il y aurait (seulement) eu 16 immeubles détruits à Waremme.

Joseph Bologne récupère le mayorat de Liège

Le 6 septembre 1944, vers 16 heures, le bourgmestre de Liège, BOLOGNE Joseph , réintègre « La Violette », sous la protection de la police liégeoise. Des troupes allemandes sont encore dans la ville, retranchées de l’autre côté du Pont des Arches, détruit.

La faune hesbignonne s’appauvrit (Waremme – Hesbaye)

En 1897, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond présente une communication intitulée « Le déclin d’une faunule », devant la classe de sciences de l’Académie.

Il tire le signal d’alarme devant l’appauvrissement de la faune hesbignonne, du à l’instauration des techniques nouvelles d’assolement en agriculture, à l’installation de la ligne de Chemin de Fer et des lignes Vicinales, à la destruction souvent inconsidérée de l’environnement naturel des sites.