En (1590 ?), le Seigneur de Momalle, DE MAILLY Adrien, fait construire un nouveau château, comprenant un donjon carré défendu par une tour d’angle, à 200 mètres de l’ancien château détruit, avec les vestiges de celui-ci. Un souterrain relie la nouvelle bâtisse à l’église.
(A l’emplacement du nouveau château se situera, bien plus tard, la ferme DEPAS, au n° 7 de la rue Haut-Vinâve).
En 1580, le château et l’église de Momalle sont complètement démolis. Seule subsiste l’ancienne chapelle castrale. Les débris du château serviront à la reconstruction de l’église, à 3 nefs et 1 tour, de style gothique.
En 1944, le « Registre aux résolutions ou reces du Magistrat de Waremme », couvrant la période de 1676 à 1684, est détruit.
Le 2 février 2012, à Borlez, la maison de KINGEN Alain est détruite par le feu.
En 1958, le donjon du château de Verlaine est dynamité.
Le nuit du 15 au 16 août 1944, un peloton composé de 11 parachutistes belges (9 soldats et 2 officiers) est largué derrière les lignes ennemies. Ce commando belge est la première unité Alliée qui foule le sol national.
Il fera plus de 300 victimes allemandes (dont un général) et détruira plus de 100 véhicules, ainsi qu’un important stock de munitions.
Dans la nuit du 6 au 7 juillet 1944, des Résistants de la « Compagnie 419 », dirigée par LEBURTON Edmond, dit « Jean-Pierre », font exploser des aiguillages, un château d’eau et des locomotives, à la gare de Waremme.
En septembre 1944, les Allemands, en retraite, incendient et détruisent le moulin à farine de Momalle.
Il a été exploité par la famille DETHIER sur plusieurs générations.
Le 5 juin 1944, le message codé « Le Roi Salomon a chaussé ses gros sabots » est diffusé sur la BBC. Il est adressé à la Résistance intérieure belge. Il lui ordonne l’exécution immédiate du plan de sabotage qui prévoit la destruction des voies ferrées, des lignes à haute tension, des câbles téléphoniques ; mais aussi l’attaque des transports allemands et de leurs installations militaires.
En 1651, les Lorrains, cantonnés dans l’église de Borlez, détruisent le registre des défunts et forcent le curé à s’en aller.