Exode à Remicourt

En mai (?) 1940, devant l’invasion allemande, des habitants de Remicourt prennent la route pour la France, notamment:

  • DESIR Maurice
  • DESSART Eugène
  • DUBOIS Edgard
  • DUBOIS Joseph
  • FRAIPONT Urbain
  • HORION Arthur
  • HORION Ernest
  • KINET Jules
  • Madame MISSAIRE, épouse MAQUET
  • PETITJEAN François
  • PETITJEAN Hector
  • PETITJEAN Michel, avec son épouse et sa fille
  • PILET Charles, avec sa mère et son frère
  • WITHOFS Marie

Evacuation des pensionnaires de l’hospice (Remicourt – France)

En 1940, à la déclaration de guerre, les pensionnaires de l’hospice Jules Mélotte, à Remicourt, sont évacués et dirigés en train vers Arcachon où MELOTTE Alfred possède un domaine.

Lucien Pirotte aide les aviateurs (Remicourt)

Durant la Deuxième Guerre Mondiale, le docteur PIROTTE Lucien, de Remicourt, participe à une chaîne d’évasion d’aviateurs alliés abattus.

La classe du 4ème degré (Remicourt)

En 1943, la classe du 4ème degré d’enseignement primaire, à l’école de Remicourt, est fréquentée par:

  • DEHEZ Paulette, de Jalhay (accueillie chez ADAM Florent)
  • DELHALLE André
  • DELHALLE Eli
  • HAUGEN Florent
  • KEPPENNE Marie
  • LEMME Eugène
  • LONNAY Martin
  • MOESSE Louisa
  • MORREN Marcel
  • ODEURS Joseph
  • ORBAN Tinette
  • PIRARD Victor
  • THIBEAU Julien

Paul Petitjean, instituteur (Remicourt)

En 1958, PETITJEAN Paul est instituteur à l’école primaire de Remicourt. Il a un air altier et quelque peu austère, renforcé par des lunettes à forte monture de couleur sombre. Il a un timbre de voix franc et ferme qui inspire à la fois crainte et respect aux jeunes enfants. C’est un authentique héros de la Deuxième Guerre Mondiale.

Le Monde du Travail clandestin (Belgique)

De juin 1940 à la Libération, 88 numéros clandestins du journal « Le Monde du Travail » sont publiés en Belgique.

Les Résistants belges

Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, environ 17.000 Résistants belges perdent la vie (fusillés, décapités, pendus, disparus dans les camps de concentration, tombés au combat, …) sur les 145.000 officiellement reconnus.

L’administration militaire allemande en Belgique

Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, l’administration militaire allemande en Belgique comporte:

  • des Oberfeldkommandantur, (dont une à Liège), dont dépendent des feldkommandantur
  • des Orstkommandantur (qui appliquent les directives dans les provinces et les arrondissements)
  • des feldgendarmerie (Ses membres portent un collier à plaque. Ils sont chargés de la discipline, de la surveillance, d’arrêter les travailleurs obligatoires réfractaires, …. A Waremme, la feldgendarmerie est installée place du Roi Albert 1er)
  • la Geheine Feldpolizei (la police secrète militaire)
  • l’Abwehr (le service de sécurité et de renseignement de l’armée)
  • la Sicherheitspolitzei (service policier civil, police d’Etat du IIIe Reich)
  • la Gestapo

Reprise à l’Académie (Waremme)

Le 15 mars 1945, après l’instabilité de la Deuxième Guerre Mondiale, l’Académie de Musique de Waremme reprend ses activités.

Dissolution de la fanfare Saint-Materne (Waremme)

En 1945, peu de temps après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, la fanfare Saint-Materne de Waremme est dissoute.