Les habitants « étrangers » (Verlaine)

Entre 2015 et 2020, le nombre d’habitants provenant de l’étranger a diminué annuellement de – 0,3 (pour 1.000 habitants) à Verlaine.

Moins d’habitants « belges » (Fexhe-le-Haut-Clocher)

Entre 2015 et 2020, le nombre d’habitants provenant d’une autre commune belge a diminué annuellement de 4,0 (pour 1.000 habitants) à Fexhe-le-Haut-Clocher.

Evolution des Bleus (Waremme)

De sa création jusqu’en 1946, la fanfare « Les Bleus », de Waremme, liée au Parti Libéral, connait une intense activité. Par la suite cette activité va diminuer, faute de membres.

Eviter la disparition du tumulus de Celles-Saives

En 1903, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe », a déjà diminué de plus de la moitié de sa hauteur.

La Commission des Monuments et Sites entreprend des démarches pour le faire acquérir par l’Etat. Elles n’aboutiront pas, mais auront le mérite d’arrêter la destruction du site.

Viemme en 1815

En 1815, il y a 334 habitants à Viemme. La population a baissé ces dernières années car de nombreux jeunes gens ont été enrôlés dans les armées de BONAPARTE Napoléon.

Les décanteurs de Hollogne-sur-Geer

Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.

Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.

Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.

En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,

Waremme en 1895

En 1895, il y a 3.676 habitants à Waremme, dont 239 travaillent dans l’agriculture, soit 6,5% (une diminution de 34% en 50 ans).

Un ouvrier agricole à Momalle

Vers 1850, les revenus annuels d’une famille d’ouvrier agricole de Momalle s’élèvent à environ 1.200 francs, alors que ses dépenses s’élèvent à environ 1350 francs. Pour combler cette différence, elle peut:

  • Restreindre les dépenses de nourriture en mangeant du pain sec, en diminuant la consommation de viande (déjà minime !), en augmentant la consommation de pommes de terre.
  • Raccommoder indéfiniment les vêtements, avant d’en acheter de neufs.
  • Ne chauffer la maison que lorsque c’est absolument indispensable.

Coup dur pour la commune d’Oreye

Le 23 février 2016, la sucrerie « Beneo Orafti », d’Oreye, obtient une révision de son revenu cadastral, de 700.000 à 400.000 euros. Cela entraîne une importante diminution des recettes communales. Avec l’effet rétroactif, la commune doit rembourser un total de 2,4 millions d’euros. 

Tous les départements de la commune devront faire des économies.

Les projet urbanistiques du pharmacien Jacob (Waremme)

En 1974, dans une brochure publiée par le Centre d’Etudes d’Urbanisme Commercial de Waremme, le pharmacien JACOB propose la création d’un « petit ring » qui permettrait de diminuer l’intensité du trafic dans les principales artères de la ville. De plus, les terrains disponibles en bordure de ce « ring » permettraient de créer une gare d’autobus et d’aménager des parkings.

Il propose ainsi:

  • De créer une percée entre la rue Hubert Stiernet et la rue des Combattants (d’un tracé à peu près parallèle au Geer).
  • Cette nouvelle rue serait reliée à la rue Sous-le-Château par l’aménagement et la prolongation de la rue du Rèwe.
  • Une seconde transversale pourrait partir du sommet de la rue Hubert Stiernet, là où débouche l’impasse.