Le 21 mai 1813, VRANKEN Jean-Pierre, de Momalle, fusilier au 65ème régiment de ligne, disparaît (décède ?) à Bautzen, en Allemagne.
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Disparition des remparts (Waremme)
En 1856, 3 tronçons des remparts de Waremme ont déjà disparu:
- celui qui prolonge les fortifications vers le Geer, dans l’axe de la rue du Baloir
- celui qui longe la rue du Baloir
- celui qui longe la rue des Remparts
Découvertes lors des travaux de l’église (Hodeige)
En avril 1905, les anciens piliers de la nef septentrionale romane de l’église de Hodeige sont mis à nu. Ils étaient enclavés dans la muraille depuis la disparition de la troisième nef. Ils étaient ornés (ainsi que les arcades) de rinceaux et de fleurs rouges sur fond blanc. Sur le gros pilier près du chœur, un fragment de peinture à la détrempe révèle un personnage assis sur un « faldistorium », ce qui porte à croire que tout le reste de l’église était également orné de peintures.
Les Résistants belges
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, environ 17.000 Résistants belges perdent la vie (fusillés, décapités, pendus, disparus dans les camps de concentration, tombés au combat, …) sur les 145.000 officiellement reconnus.
La ferme en carré de Les Waleffes
En 1981, la ferme en carré du hameau de Remikette est située à l’Ouest du village de Les Waleffes. Elle dessine un vaste quadrilatère datant en majeure partie du 18ème siècle et jouxtant une petite ferme accolée à un manoir.
Les bâtiments de brique et pierre calcaire sur soubassement de moellons, qui entourent la grande cour semi-pavée, sont couverts de bâtières de tuiles et de tôle ondulée.
L’entrée est prévue au Sud-Est par un portail en anse de panier à claveaux passants un sur deux, surmonté par un œil-de-bœuf.
Côté cour, un simple rouleau de briques, reposant sur des piédroits harpés, forme l’arc. Une bâtière de tuiles sur frise de briques dentées et des pignons débordants marquent le volume du porche.
Un deuxième porche situé dans l’axe du premier, et tout-à-fait semblable, s’ouvre vers les prairies à l’arrière de la ferme.
Occupant le côté du quadrilatère, l’imposante grange en double-large a fait l’objet d’importantes modifications, la toiture a totalement disparu et a été remplacée par de la tôle ondulée. Une porcherie récente est greffée sur son extrémité orientale.
Deux portes charretières, en arc surbaissé et claveaux passants un sur deux, donnent accès à la grange. Des étables en occupent une partie, ouvertes par trois portes à linteau déprimé qui alternent avec des petites fenêtres rectangulaires. Une pierre armoriée (abbesse DE WARNANT Isabelle, 1718), qui ornait la grange a été déplacée et encastrée à gauche du porche d’entrée.
Le logis faisant face à la grange domine l’ensemble des bâtiments par son volume légèrement plus élevé. De deux niveaux et demi sur cave, il est divisé en trois travées formant double-corps et couvert d’une bâtière de tuiles à coyau sur frise de briques dentées et en goutte, percée de deux lucarnes à croupes plus récentes. La porte à baie d’imposte rectangulaire et meneau (?) est surmontée d’une pierre armoriée (abbesse DE BOILEAU Lutgarde, 1733) et encadrée de larges baies à linteau droit. Le deuxième niveau est éclairé par trois fenêtres à meneau protégées par des barreaux. Une petite fenêtre à jambages chaînés s’ajoute à droite.
Accolée à la façade extérieure de ce logis, une imposante habitation du 19ème siècle et ses dépendances font saillie en dehors du quadrilatère.
Les nombreuses étables, couvertes de plafonds plats et de fenils, sont percées de portes à linteau déprimé et clé passante sur queue de pierres, de fenêtres à jambages chaînés et de baies gerbières rectangulaires.
Une belle écurie, couverte de voûtes en briques sur colonnes cannelées en pierre bleue, voisine avec un chartil (transformé en garage) et forme l’angle Sud de l’ensemble.
Enfin, à droite du porche d’entrée, des étables récentes, construites à front de route, nuisent à l’aspect extérieur du quadrilatère.
L’élevage (Waremme – Hesbaye – Grande-Bretagne)
Au 18ème siècle, dans le canton de Waremme, les prairies se concentrent dans la vallée du Geer et autour des villages.
On élève des chevaux, des bêtes à cornes, des porcs et des moutons. (Ces derniers, forts nombreux jusqu’au milieu du 19ème siècle, disparaîtront face à la concurrence des laines anglaises de meilleure qualité, avec pour conséquence la disparition des bergeries)
Le tumulus de Celles-Saives
En 1902, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives » est caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe ». le site est devenu un repaire à lapins, qui causent également des dégâts aux cultures voisines. Il risque de disparaître.
Le tumulus de Faimes
En (?), la motte féodale de Faimes, anciennement appelées « La Tour » est rebaptisée « Tumulus » car la construction qui la surmontait a disparu.
Disparition de la perche des Francs-Tireurs (Waremme)
En 2016, la perche de tir de la société « Les Francs-Tireurs de Waremme » disparaît définitivement lors de l’aménagement d’un nouveau lotissement.
La construction en Hesbaye
A partir de 476, à la chute de l’Empire Romain, l’art de bâtir en pierre disparaît progressivement en Hesbaye. Les nouvelles constructions seront faites de bois et de torchis.