En l’An V, JACQUES Jean-François, cultivateur à Waremme, conscrit, est dispensé définitivement (?).
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Arnold Jacques, dispensé (Waremme)
En l’An VI, JACQUES Arnold, cultivateur à Waremme, conscrit, est dispensé définitivement (?).
Henri Massoland, dispensé (Waremme)
En l’An III, MASSOLAND Henri-Louis, pharmacien à Waremme, conscrit, est dispensé définitivement.
Jean Derwa, dispensé (Waremme)
En l’An IV, DERWA Jean, domestique à Waremme, conscrit, est dispensé définitivement (exempté de droit).
Alfred Dengis, ouvrier (Momalle – Herstal)
En mai 1940, DENGIS Alfred, de Momalle, dispensé du service militaire pour déficience de la vue, travaille à la Fabrique Nationale de Herstal.
La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)
Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.
La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.
Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.
La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.
Philippe Jossar est dispensé de sa dette (Waremme)
Le 22 mai 1679, la Confrèrie des Archers de Saint-Sébastien de Waremme, dispense JOSSAR Philippe de payer 12 florins pour le rendage du pré, en raison du fouragement et du logement qu’il a dû fournir aux soldats français.