Projet de télédistribution (Waremme – Liège)

En 1970 (?), l’Association Liégeoise d’Electricité (ALE) propose à la ville de Waremme l’affiliation à un réseau de distribution de programmes de télévision par câble. Ce système présente les avantages suivants:

  • le nombre de programmes distribués est plus élevé que celui que l’on peut capter avec une antenne individuelle, même très couteuse;
  • l’image est de bien meilleure qualité;
  • il devrait permettre la réception de la télévision en couleur, par le transcodage des systèmes « PAL » (adopté par l’Allemagne et les Pays-Bas) et « SECAM » (adopté par la France)

Le magasin Delhaize-le-Lion (Waremme)

En 1965, le magasin « Delhaize-le-Lion » distribue le gaz « Unigaz » au n° 13 de la rue Joseph Wauters à Waremme.

Les pauvres se plaignent de la distribution des secours (Hodeige)

En 1733, les pauvres de Hodeige adressent une supplique à l’archidiacre du Brabant, précisant que les « Revenus des Miches » des Communs Pauvres de Hodeige sont également distribués aux censiers et aux autres habitants. Ils se plaignent également de ce que les mambours ne leur ont pas rendus leurs comptes. Copie de la supplique sera adressée au curé du village par l’archidiacre, ainsi qu’au mambour, pour y répondre.

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.

Le Courrier de la Hesbaye (Remicourt)

En 1935 (?), RENSON Clément, de Remicourt, crée « Le Courrier de la Hesbaye », un journal régional distribué gratuitement dans 18 communes de la région.

La Gazette de Waremme à Remicourt

En 1909, la « Gazette de Waremme » est distribuée à Remicourt par les camions hippomobiles de la Coopérative « La Justice ».

Oeuvre scolaire (Remicourt)

Le 8 février 1934, le Conseil Communal de Remicourt vote, à l’unanimité des membres présents, l’octroi d’un crédit destiné à la création d’une Oeuvre Scolaire. (Fin de l’année, ce crédit sera fixé à 7.000 francs).

L’objet principal de cette Oeuvre Scolaire est de promouvoir l’enseignement communal, en accordant des faveurs aux élèves. Ainsi, au cours du temps, seront distribués:

  • des souliers
  • des mallettes
  • du linge

L’Oeuvre offrira également des friandises et des livres à la Saint-Nicolas. Elle dotera d’ouvrages littéraires les remises des prix clôturant les années scolaires.

Collecte de fonds à Remicourt

Le 24 janvier 1915, une cérémonie est organisée en l’église de Remicourt, avec un collecte en faveur des familles nécessiteuses éprouvées par le chômage. Les 550 francs recueillis seront transformés en bons de charbon (250 ou 300 kilos) et distribués à 55 familles.

Création de la Corporation Nationale de l’Agriculture et de l’Alimentation (Belgique – Waremme)

En août 1940, la Corporation Nationale de l’Agriculture et de l’Alimentation (C.N.A.A.) est créée en Belgique. Elle entend contrôler aussi bien la production que la distribution des denrées alimentaires. Elle est contrôlée par les Allemands.

A Waremme, elle s’installe rue Sous-le-Château.

(Un « marché noir » va rapidement voir le jour pour en contourner les règlements)

Photos de vedettes aux Variétés (Waremme)

En août 1957, le cinéma « Les Variétés », de Waremme, passe un accord avec la société « MERBOTEX », de Bruxelles, qui lui envoie des photos de vedettes avec de la publicité au dos, à distribuer aux clients du cinéma.