Le comité de l’association Les Amitiés Françaises (Waremme)

En 1955, le comité de l’association « Les Amitiés Françaises » de Waremme est composé de:

  • DOYEN G., président, commissaire de l’arrondissement de Waremme
  • MAHU Henri, secrétaire, directeur de l’Ecole Provinciale d’Agriculture de Waremme
  • MONJOIE Henri, membre, bourgmestre faisant-fonction de Waremme
  • BEAUDUIN, membre, conseiller communal de Waremme
  • BOVY, membre, directeur de sucrerie
  • COUNE, membre, inspecteur au Ministère des Affaires Economiques
  • DARBE, membre, avocat
  • ETIENNE, membre, fonctionnaire aux émissions mondiales de l’INRI
  • FRAIKIN, membre, préfet de l’Athénée Royal de Waremme
  • HOUBRECHTS, membre, professeur à l’Athénée Royal de Waremme
  • LERGON, membre, professeur à l’Athénée Royal de Waremme
  • LICOUR, membre, major honoraire
  • STASSART, Membre, professeur à l’Ecole Provinciale d’Agriculture de Waremme
  • VERDIN, membre, docteur en médecine

René Verdin, médecin (Waremme)

En 1954, le docteur VERDIN René est installé au n° 4 de la rue Emile Hallet, à Waremme.

Les médecins de Waremme

En 1954, les médecins de Waremme sont:

  • BOURMANNE Louis
  • CANSE R.
  • CUVELIER Edouard
  • DELANDE Henri
  • HONLET Paul
  • NAVEAU Joseph
  • RENIER Jules
  • VERDIN René
  • WILMOTTE Maurice

René Verdin, médecin (Waremme)

Le 28 août 1944, lors du bombardement de Waremme, le jeune docteur VERDIN René assiste le docteur BOURMANNE Louis, pour soigner les blessés qui sont transporter à la clinique Notre-Dame.

Léon Berger emmené à la Clinique Notre-Dame (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe rue Joseph Wauters, face au Café « Aux Sports », HENROTEAUX Georges et COUCHANT Hyacinthe, prennent en charge le blessé BERGER Léon, à la sortie du cabinet du docteur HONLET, le place sur une civière et le conduisent à la Clinique Notre-Dame. Il est conscient et parle, par moments.

Il est examiné par les docteurs BOURMANNE Louis et VERDIN René. Le diagnostic est pessimiste: une profonde blessure à la base du crâne a provoqué une importante hémorragie et la rupture des vertèbres cervicales. Il est paralysé des quatre membres. L’issue fatale est inévitable. Les médecins ne peuvent qu’atténuer ses souffrances. on lui bande la tête et on le transporte dans une chambre. Sa maman, GIHOUSSE Marie, reste à son chevet.

René Verdin, mitraillé (Waremme – Chapon-Seraing)

Le 10 août 1944, le docteur de Waremme, VERDIN René, se rend à la Kommandantur de Huy, pour présenter sa moto « Gillet » et obtenir la prorogation de son permis de circuler. Sur le chemin du retour, il est attaqué par des « Thunderbolt », à hauteur de Chapon-Seraing. Il s’arrête en catastrophe, abandonne sa moto et se couche dans un champ.

René Verdin, médecin des pompiers de Waremme

Le 16 septembre 1955, le conseil communal de Waremme nomme le Docteur VERDIN René en qualité de sous-lieutenant médecin du service d’incendie de la ville. Il occupe(ra) la villa que le docteur EVRARD René à fait construire à l’angle de la rue de Huy et de l’avenue de la Résistance.