Le (?), DE LONGCHAMPS Guillaume voit le jour à (?). Ses parents sont DE LONGCHAMPS Guillaume, lieutenant-bailly de Hesbaye, et DE VANNE Jozines.
Il héritera du domaine de Longchamps.
Le (?), DE LONGCHAMPS Guillaume voit le jour à (?). Ses parents sont DE LONGCHAMPS Guillaume, lieutenant-bailly de Hesbaye, et DE VANNE Jozines.
Il héritera du domaine de Longchamps.
(Vers 1638 – 1642), DE LONGCHAMPS Marie-Françoise voit le jour à (?). Ses parents sont DE LONGCHAMPS Guillaume et DE NEUFCOURT Anne-Marie.
Elle héritera du domaine de Longchamps à la mort de son père.
Le (?), DE FABRITIUS Marie-Catherine-Françoise voit le jour à (?). Ses parent sont l’Ecuyer DE FABRITIUS Charles-Jean-Baptiste et DE LONGCHAMPS Marie-Françoise.
Elle héritera du domaine de Longchamps à la mort de sa mère.
Le 24 septembre 1701, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-François voit le jour à Liège. Ses parents sont le baron DE DELYS Walthère (Walter ?) et DE FABRITIUS Marie-Catherine-Françoise, héritière du domaine de Longchamps à Waremme. Il épousera la Baronne DE BORMANS Marie-Thérèse-Louise.
Il héritera du domaine de Longchamps à la mort de ses parents.
Le 2 décembre 1836, D’ARAN DES CASLANS Denise-Jacqueline, grand-mère maternelle de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, décède à Paris.
A partir de ce moment, la famille DE SELYS-LONGCHAMPS vient s’installer définitivement au domaine de Longchamps à Waremme.
Le professeur de latin de Michel-Edmond, Monsieur HOFFMANN, avocat à Paris, consent à accompagner son jeune élève, afin de poursuivre son enseignement. Jamais Michel-Edmond, ne suivra les cours d’un collège ou d’une université.
En 1816, DE SELYS-EDMOND Michel-Edmond, qui vit avec sa mère à Paris, rencontre pour la première fois son père DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent, à l’occasion de son premier séjour au domaine de Longchamps à Waremme. Il est âgé de 3 ans.
Vers 1909, le moulin « Mathéi » est situé sur le Geer, au hameau de Hartenge, à la limite entre Waremme et Oleye.
C’est dans ce moulin que fut signée la « Paix d’Oleye » en 1466.
Les Templiers auraient possédé une ferme ou un domaine, non loin de ce moulin.
Ce n’est pas une simple ferme. Le maître d’une villa est un notable, qui prend possession d’un domaine qui peut parfois s’étendre sur plusieurs centaines d’hectares. Il va l’aménager et y développer l’agriculture, l’élevage, la culture fruitière et maraichère. Pour cela, il va devoir défricher, drainer et irriguer des terrains, curer des fossés, assécher des marais, … Pour ses constructions, il doit installer une briqueterie et une tuilerie. Dans son personnel, il doit y avoir des maçons, des carreleurs, des ardoisiers, des bucherons, des charpentiers, des menuisiers, des charrons, des forgerons, des bourreliers, des potiers, des céramistes, des tisseurs, des tanneurs, des vanniers, … Outre cette main d’œuvre spécialisée, il doit disposer de « manœuvres » pour la constructions de routes, pour extraire les matières premières dans les carrières (sable, silex, marne, …), pour endiguer les cours d’eau, … Il doit également fournir des hommes à l’armée d’occupation. Une villa est donc une véritable agglomération, grouillante d’activité.
Les techniques agricoles sont plus évoluées que celles utilisées par les autochtones : moissonneuse de Buzenol, charrue, attelage à brancards, …).
Une villa est généralement située à proximité d’une route importante (ce qui est le cas à Waremme), ou dans un site privilégié du point de vue défensif. Elle peut servir de relais de poste et de point de ravitaillement aux troupes qui font mouvement.Les plus grandes villas peuvent d’ailleurs disposer d’une garnison pour leur protection.
Principe de l’hypocauste : les pièces de l’habitation sont construites avec un espace vide sous le sol et dans les cloisons. Ces espaces vides sont reliés au toit par plusieurs conduits de cheminées. Un four est situé contre un des murs donnant dans cet espace vide. Lorsque le feu est allumé, de l’eau est chauffée dans un réservoir ; la chaleur et la fumée, produites par le four, sont aspirées sous les sols et dans les doubles cloisons, avant de s’échapper par les cheminées. Du personnel (des esclaves) est chargé de faire fonctionner l’ensemble : apporter le bois, entretenir le feu, remplir le réservoir d’eau, …
En 1963, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond décède. Le domaine revient à sa fille DE SELYS-LONGCHAMPS Hélène et à son mari DE MAERE D’AERTRYCKE Antoine.
En 1230, à la demande du Légat du Pape, le Cardinal-Diacre OTTON, le Prince-Evêque de Liège, D’EPPES Jean, concède la châtellenie de Waremme en fief à DE JENEFFE Baudouin. Il s’agit peut-être (?) d’un geste de reconnaissance, pour le rôle joué par Baudouin dans l’arrestation du Comte D’ALTENA D’ISENBERG, le meurtrier de l’archevêque de Cologne, DE BERGHES Englebert, en 1225.
DE JENEFFE Baudouin rend hommage au Prince-Evêque de Liège et promet, sur la foi, que son successeur ne se marierait pas en dehors de la famille allodiale de l’Eglise de Liège (pour que le domaine reste un fief du Prince-Evêque ?). Ses frères, D’OREYE DE JENEFFE Arnould et DE LIMONT DE HERBAIS Robert, sont donnés comme garants de cette promesse.
DE JENEFFE Baudouin 1er est le premier châtelain de Waremme connu. Il le restera jusqu’en 1248. En acquérant la châtellenie, Baudouin acquiert le droit de percevoir la dîme à Waremme.
(Entre 1078, date de la donation du domaine par ERMENGARDE au Prince-Evêque de Liège, et 1229, le domaine de Waremme était probablement exploité par un avoué, au nom du Prince-Evêque).