Le 29 février 1884, JAMOULLE Victor-Nicolas voit le jour à Momalle. Il sera domestique de ferme. Il habitera à Lamine.
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Quelques habitants de Hodeige
En 1940, habitent Hodeige:
- DENGIS Thomas-Nicolas-Gille, cultivateur
- GODECHARD Félix-Jean-Julien, coiffeur
- GOFFIN Jean-Jacques-Eloi, mineur pensionné
- MALCHAIR Louis-Dieudonné, cultivateur
- MAQUOI Jean-Hubert-Guillaume, marchand de vélos
- RENOTTE Eugène-Clément-Joseph, domestique de ferme
Naissance d’Eugène Renotte (Hodeige)
Le 6 octobre 1920, RENOTTE Eugène voit le jour à Hodeige. Il sera domestique de ferme.
Des habitants de Celles
En 1904, résident à Celles:
- BADA Edouard, journalier
- BADA Lucien, journalier
- CHABOT Victor, négociant
- HAYEN Augustin-Edouard, domestique de ferme
- LELIEVRE Guillaume, maréchal-ferrant
- NOEL Théophile, pharmacien
Professions exercées par les hommes à Waremme
En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :
- 1 apothicaire
- 1 huissier
- 1 barbier
- 1 jardinier
- 7 bergers
- 57 journaliers
- 15 boutiquiers
- 2 maréchaux-ferrants
- 3 brasseurs
- 1 médecin
- 4 cabaretiers
- 16 menuisiers
- 8 Charretiers
- 2 meuniers
- 3 charrons
- 2 porchers
- 1 chirurgien
- 2 selliers
- 1 cordonnier
- 6 tailleurs
- 1 couvreur de toits
- 19 tisserands
- 12 cultivateurs
- 3 tonneliers
- 6 domestiques
- 1 tourneur en bois
- 8 domestiques de ferme
- 2 vitriers
- 1 faiseur de corde
En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.