Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, malgré ses blessures, JAVAUX Martien rentre chez lui. Il fait appeler son voisin et ami, le docteur CUVELIER. Il a une clavicule brisée et un gros orteil fortement contusionné.
Archives par mot-clé : domicile
Les ouvriers de la Scierie « Hambroise » (Waremme)
Le 28 août 1944, à 17 heures, la douzaine d’ouvriers de la Scierie « HAMBROISE », de la rue de Huy à Waremme, quittent leur travail pour rentrer chez eux.
Le gendarme Ambroise Jamar (Waremme – Grand-Axhe)
En novembre 1943, le lieutenant JAMAR Ambroise, commandant de gendarmerie du district de Waremme, réside avec sa famille, dans la maison des époux JOASSIN, à côté de l’église de Grand-Axhe.
Il dispose d’une voiture « Renault », qui a appartenu à NAVEAU Lucie. Il l’utilise pour les besoins du service et pour les déplacements de son domicile à Grand-Axhe, jusqu’à son bureau à Waremme.
Hubert Krains, transféré (Les Waleffes – Morlanwelz – Fallais)
En 1880, KRAINS Hubert, natif de Les Waleffes, est transféré du bureau des Postes de Morlanwelz dans le Hainaut, vers celui de Fallais, plus proche de chez lui.
Madame Lejeune rentre chez elle (Waremme – Liège)
En novembre 1849, RAYMAECKERS Marie-Adélaïde-Christine, l’épouse du bourgmestre de Waremme, LEJEUNE Charles-Michel-Joseph, dont l’aliénation mentale est presque guérie, rentre chez elle, à Waremme.
Armand Demuynck (Waremme)
En 1945, DEMUYNCK Armand est domicilié au n° 17 de la rue Visigate à Waremme. Il est employé communal.
Confrontation des Commissaires (Waremme)
Le 7 septembre 1944, l’ancien commissaire de police, HARDY Camille, en place avant le conflit, arrive à l’Hôtel de Ville de Waremme, en grand uniforme et bardé de ses décorations. Il s’en prend à son remplaçant, le commissaire PETERS Lucien, en hurlant à la foule: « Le Commissaire, c’est moi ! Celui-là, c’est un imposteur, un traitre qui a été le valet des Boches. Voilà ce que je fais de ceux qui ont trahi la Patrie … » Il lui arrache les insignes qu’il porte sur son uniforme et lui retire sa mitraillette, sous les applaudissements et les huées de la foule.
HARDY Camille accuse le bourgmestre, JOACHIM Guillaume, d’avoir procédé à son remplacement.
Pour calmer la situation, le représentant de l’Armée Secrète (A.S.), NELIS Gaston, conseille à PETERS Lucien de rentrer chez lui.
Après la guerre, les résistants reconnus, domiciliés à Waremme
En 1945, après la guerre, les résistants reconnus, domiciliés à Waremme.
Civils :
- HERCKENS Jules
- MUSCHART Marie-Louise
Maquisards armés :
- HOUGARDY W.
- MASUY Emile
- JAMAR Arthur
- CHABOT Albert
- SULS J.
- GIELEN W.
- POELMANS J.
- ROUBY G.
- WERY H.
- DETHISE Fernand
- DECROCK G.
- DELVAUX J.
- CROTTEUX M.
- DUPUIS C.
- RENKIN André
- STIERNET V.
- HELLA Jules
- LANDRAIN O.
- LHOEST Georges
- BONNECHERE F.
- MARCHOUL Henri
- DELHALLE Joseph
- RAMQUET Paul
- MARCHAL Léon
- LEMPEREUR J.
- HELLA Louis
- PROTIN J.
- WERY Eva
- Abbé FRAIPONT Joseph (professeur au collège)
- HENROTEAUX Georges
- CHARLIER Léon
- LEQUET Gérard
- JAVAUX Marcien
- LEGROS Joseph
- PARMENTIER Alfred
- VANHERCK Victor
- GREGOIRE Paul
- POELMANS Adrien
- ROSOUX Jean
- SENY Marie
- BRUNEAU François
- BROUCKART Constant
- DUMONT Ernest
- DEGENEFFE Désiré
Les pensionnaires des Filles de la Croix (Waremme)
A partir de 1950, les pensionnaires de l’Institut Notre-Dame du Sacré-Cœur des Filles de la Croix à Waremme rentrent chez elles tous les quinze jours.
Les pensionnaires des Filles de la Croix (Waremme)
En 1948 – 1949, les pensionnaires de l’Institut Notre-Dame du Sacré-Cœur des Filles de la Croix à Waremme rentrent chez elles une fois par mois (si les moyens de transport le permettent).