Les pensionnaires des Filles de la Croix (Waremme)

En 1947, les pensionnaires de l’Institut Notre-Dame des Filles de la Croix à Waremme rentrent chez elles à la fin de chaque trimestre pour les vacances et à la mi-trimestre (sauf au troisième si celui-ci est trop court).

L’abattage des bêtes (Waremme)

En 1925, lorsqu’un boucher abat et découpe un porc au domicile d’un client à Waremme, il demande 2 francs et reçoit un demi-kilo de viande. De plus, il reçoit les soies de la bête, qu’il peut revendre à un prix qui peut parfois atteindre 80 francs le kilo.

Banquet en l’honneur de Gustave Renier

Le 1er juillet 1894, RENIER Joseph donne un banquet à son domicile à Waremme, en l’honneur du retour au pays de son neveu, RENIER Gustave Ferdinand. Plusieurs parents et amis son conviés à la fête.

Modification du droit de vote en Belgique

En 1893, le suffrage universel plural remplace le suffrage censitaire. Dorénavant, tout Belge de 25 ans domicilié depuis 1 an au moins dans la même commune, a le droit de voter (pas l’obligation). Les pères de famille, les propriétaires et les capacitaires (ceux qui ont fait au moins 3 ans d’études moyennes) bénéficient d’une ou deux voix supplémentaires. Un électeur ne peut cumuler plus de 3 voix.

L’habitat dans la région de Waremme en 1856

En 1856, il y a 402 habitations à Waremme pour 1919 habitants (une moyenne de 5 habitants par habitation). Les habitations se répartissent comme suit :

  • Waremme : 267, dont près de 60% à l’intérieur de l’ancienne enceinte.
  • Petit-Axhe : 55
  • Longchamps : 48
  • Hartenge : 14
  • Mouhin : 12
  • Saint-Eloi : 4
  • Froidebise : 1
  • Chaussée romaine : 1

En dehors de quelques anciennes maisons cossues et de quelques beaux immeubles nouveaux, il y a une majorité d’habitations modestes, parmi lesquelles un très grand nombre de masures. 43% des petites gens sont propriétaires de leur maison.

Les habitations se répartissent entre 260 propriétaires, dont 14 sont domiciliés en dehors de la commune (mais la plupart de ceux-ci sont domiciliés dans une commune toute proche).

En 10 ans, le nombre d’habitations a progressé de 10%, essentiellement par l’effet du Chemin de Fer.

Michel-Edmond de Sélys-Longchamps a des précepteurs (Waremme)

A partir de 1825, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond suit des leçons à domicile, sous la direction de différents professeurs particuliers.

Waremme doit fournir à l’Empire un cavalier complètement équipé

Lors des grandes guerres qui éclatent durant les dernières années de l’Empire, Waremme doit subir de nombreuses réquisitions en argent et en nature. En 1813, on fait savoir au maire que la ville doit fournir un cavalier équipé, homme et cheval. Vu l’état de pauvreté des habitants, le conseil écrit au Seigneur DE SELYS-LONGCHAMPS pour le prier d’intervenir dans le paiement de la somme nécessaire. Celui-ci répond qu’il a son domicile à Liège et qu’il y a déjà payé sa part dans les contributions imposées. Ne trouvant pas de volontaire, la ville de Waremme doit donc verser 600 florins pour le cheval et 660 florins pour le cavalier.

L’artisanat à Waremme

Au début du 19ème siècle, beaucoup d’outils et d’objets nécessaires au bon déroulement de la vie à la ferme et dans les familles, sont fabriqués à Waremme et dans les villages avoisinants. Beaucoup d’artisans travaillent à domicile, dans leur petit atelier.