Le 25 mars 1946, le Conseil Communal de Pousset approuve le projet de restauration de l’église du village, fortement endommagée par la chute d’un V1 allemand, en janvier 1945. Le montant du projet d’élève à 519.000 francs.
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L’église endommagée (Pousset)
Le 14 janvier 1945, une bombe volante allemande (V1) s’abat sur l’église de Pousset. Elle est gravement endommagée. L’édifice sera inutilisable jusqu’au 8 mai 1948.
La terre tremble à Berloz
Le 23 février 1828, un tremblement de terre endommage l’église de Berloz. Elle sera, en partie, restaurée.
Lantremange sera dédommagée
Le 20 octobre 1580, DE LANTREMANGE Godefrin produit une attestation de la Cour de Justice du village pour les dommages subis pendant la guerre.
La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)
Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.
La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.
Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.
La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.
Le Collège Saint-Louis indemnisé (Waremme)
Le 19 janvier 1923, une circulaire du Ministère des Affaires Economiques précise que le Collège Saint-Louis de Waremme recevra 37.000 francs comme indemnités de guerre, pour les dommages subis suite l’occupation des bâtiments par les soldats allemands.
Surcouf écume l’Océan Indien (France)
Le quartier général français s’installe à Waremme
En juillet 1794, le quartier général en chef de l’armée française vient s’établir à Waremme et y séjourne 5 à 6 semaines. Un parc d’artillerie, composé de 7.000 chevaux, est installé auprès du Bois des Deux Tombes de Grand-Axhe et de Celles et y cause de grands dommages. Les autorités françaises réquisitionnent fourrage et grains.
Un incendie éclate à Waremme
Le 9 juin 1755, un nouvel incendie éclate à Waremme. Onze maisons sont entièrement réduites en cendres et cinq autres sont considérablement endommagées.
Construction de la chapelle « Saint-Pierre » (Waremme)
En 1711, l’abbé STEPHANI François, vicaire et prémissaire de Waremme depuis 46 ans, entreprend de faire construire une chapelle en l’honneur de Saint-Pierre, patron de la ville, « hors de la porte sur le chemin royal de Waremme à Saint-Trond, à l’endroit où son image a été reposante depuis un temps immémorial », au lieu-dit « A la Voye Saint-Pierre ». Les fonds nécessaires ont été fournis par quelques pieux bourgeois et surtout par le conseiller (communal ?) VANDER HEYDEN A BLISIA.
Le conseil de la ville a donné l’autorisation nécessaire à cet effet et s’engage à entretenir la chapelle aussi longtemps qu’elle subsistera.
(Elle sera reconstruite au 20ème siècle, en style plus moderne, suite aux dommages subis lors d’un accident de la circulation)