Ornement de l’église (Remicourt)

Le 15 février 1922, un généreux donateur fait livrer à l’église de Remicourt, par la Maison BILLAUX-GROSSE de Bruxelles:

  • une paire de candélabres de 1m60 en cuivre poli
  • 2 paires de chandeliers de 25 cm, à pointe mobile, en cuivre poli
  • 2 lanternes en cuivre poli avec bâton

pour un prix total de 774 francs.

Grille pour l’église (Remicourt)

Le 8 janvier 1914, la chapelle de la grotte de Lourdes de l’église de Remicourt est délimitée par une grille en fer forgé, réalisée par HALIN R. de Liège. Elle est offerte par un donateur anonyme.

Gérard Dodeur, mayeur (Thys – Grandville)

En 1561, DODEUR Gérard, de Grandville, est maïeur à la cour de justice de Thys.

Il est donateur d’une des fenêtres (vitrail ?) de l’église de Thys.

La « Table des Pauvres » ou « Table du Saint-Esprit »

Vers 1200, elle est la principale institution de secours et le restera jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. Son apparition date, au plus tard, du début du 13ème siècle. Elle naît de l’obligation pour chaque communauté de subvenir à l’entretien de ses propres pauvres. L’organisme existe donc, en principe, dans chaque paroisse, indépendamment d’autres fondations charitables. Il n’échappe pas totalement au contrôle de l’Eglise. L’hégémonie de l’administration civile s’explique, dès la naissance, par le développement des villes et la formation d’un esprit communal. Elle découle aussi des nécessités pratiques. Chargé de réglementer la mendicité, le magistrat local est amené à se préoccuper du même coup des conditions d’octroi des secours. Les revenus des « tables » trouvent leur origine dans le patrimoine foncier, fruit de dons et de legs, dans les aumônes et le produit des quêtes. Ils sont administrés par des proviseurs ou maîtres des pauvres. Les titulaires sont en principe désignés, en ville, par le magistrat, par les échevins et la communauté à la campagne. Mais là, Seigneur et curé peuvent jouer un rôle prépondérant. Les secours sont distribués en argent ou en nature.

A la fin de leur vie, certaines personnes aisées ou grands propriétaires fonciers de la paroisse éprouvent le besoin de laisser une partie de leur patrimoine à l’Eglise, en vue du salut de leur âme. A cet effet, elles affectent les revenus d’une partie de leur succession immobilière aux personnes pauvres de la paroisse. Ces rentes sont désignées sous le vocable « Mense du Saint-Esprit ».

Ce patrimoine de terres et de legs a été constitué au fil des siècles par de généreux donateurs au profit des indigents de la paroisse. Le curé en cède le plus souvent la gestion à des mambours ou tenants des pauvres.

Le drapeau de la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 19 avril 1661, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme décide de faire apposer sur son drapeau l’image de Saint-Sébastien et les armes du colonel LABRIQUE, qui leur a fait don du drapeau.