Le 21 avril 1603, GONTHIER Libert donne, la ferme dite « du Tombeur » à Hemricourt, à son fils GONTHIER Guilleaume, en subside de mariage. Celui-ci va épouser PIRON Isabeau de Roloux.
La ferme a une superficie d’environ 60 bonniers.
Le 21 avril 1603, GONTHIER Libert donne, la ferme dite « du Tombeur » à Hemricourt, à son fils GONTHIER Guilleaume, en subside de mariage. Celui-ci va épouser PIRON Isabeau de Roloux.
La ferme a une superficie d’environ 60 bonniers.
Le 29 novembre 1476, DE HEMRICOURT Cochar fait donation à son fils, DE HEMRICOURT Tilmant, de la ferme dite « ferme devant le cimetière » à Hemricourt.
DE HEMRICOURT Tilmant épousera DE BOTTON Agnès.
En mai 1862, NAVEAU Léonard, de Hollogne-sur-Geer, donne une taupe blanche, tachetée de noir, au Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond.
Le 28 octobre 1243, le chevalier DE JENEFFE Baudouin, châtelain de Waremme, fait donation de trois bonniers de terre, qu’il possède à Ans, à la « Maison des Joncs » de l’Ordre Teutonique à Saint-Trond.
En 1251, Marguerite, veuve du Chevalier DE CORSWAREM Robert, donne à l’abbaye de la Paix-Dieu, de Jehay-Bodegnée, des biens et des revenus à Heers-le-Château: un alleu de 12 bonniers et un cens de 3 sous et 9 chapons.
Le 7 novembre 1855, le bourgmestre de Waremme LEJEUNE et ses échevins, le docteur FLEUSSU Xavier et LAGASSE Walthère viennent remercier GANDOLPHE Marie-Denise, Baronne DE SELYS-LONGCHAMPS, pour le don du terrain où est implanté le nouveau cimetière de la ville.
Vers 1850, le chanoine DARIS Joseph effectue des recherches sur l’identité exacte d’ERMENGARDE de Waremme, qui a fait des donations à l’église de Liège en 1078.
Le 30 avril 1970, la Maison des Jeunes inaugure ses nouveaux locaux, dans un immeuble de l’avenue Guillaume Joachim, dont Madame DUCHATEAU à fait don à l’administration communale de Waremme.
En 1016, BALDERIC, le fondateur de l’abbaye Saint-Jacques, fait donation du hameau de « Sylvia » à Celles. Sylvia prendra plus tard le nom de Saive.
Le 12 octobre 1624, l’Evêque de Liège, DE BAVIERE Ferdinand, autorise l’érection de ce couvent, à la rue du Pont, par un courrier.
Il est construit grâce à la munificence du seigneur DE BOCHOLT et à la bienveillance des autorités locales. L’église sera bâtie plus tard par ordre de Charles de Lorraine qui, pendant plusieurs années, aura été un fléau pour le pays.
L’acte d’érection du couvent des Récollets, signé par le Vicaire Général, CHOKIER J. A., porte qu’il est construit sur l’emplacement d’un hôpital en ruine, mais à la condition expresse que les religieux n’aient aucun droit aux revenus de cet ancien établissement. Ces revenus doivent rester affectés à leur destination primitive. (Nous ne savons pas à quelle époque remonte la fondation de cette institution de bienfaisance. Tout ce que nous pouvons dire, c’est qu’elle existait déjà en 1345. L’hôpital de Waremme avait des revenus à lui propres. Un des bourgmestres était chargé, en qualité de mambour, de les administrer.) Après la destruction de l’édifice, la mambournie de l’hôpital resta distincte de celle des pauvres. (On peut en conclure que l’hôpital était primitivement une espèce d’hôtellerie pour les voyageurs pauvres). D’un commun accord, les Waremmiens offrent de fournir aux Pères Récollets une maison et un jardin, déjà situés sur les ruines de l’ancien hôpital.
En 1634, diverses donations sont faites aux Récollets. JOSSAR Mathieu donne un terrain pour la brasserie. La demoiselle DE NEURCOURT Anne, veuve de LA BRICQUE Guillaume, donne un terrain sur lequel sera construit le chœur. La famille VAN DER HEYDEN A BLISIA donne la lampe du Saint Sacrement. Enfin, DE MONTFERRAND Agnès et Jean font don des orgues.
C’est le père MARCHANTIUS (MARCHANTINS, MARCHANT ?), provincial des Flandres (supérieur de tous les couvents Franciscains de la région – les Récollets sont une ramification des Frères Mineurs Franciscains), qui est chargé de l’organisation de la nouvelle communauté. La maison compte de huit à dix pères. Il s’y donne un cours de philosophie.
Le couvent abritera jusqu’à 30 religieux et possédera un cloître.
Les Pères Récollets cultivent un potager d’une superficie de 25 verges, traversé par le Geer.
Les Récollets ont une brasserie, dont les voûtes de briques font l’objet de l’admiration des amateurs. (A l’emplacement de cette ancienne brasserie, au n° 47 de la Rue Hubert Stiernet, s’installera l’imprimerie de DETHISE Fernand.)
La fin du Couvent des Récollets. En 1796, la Révolution française vient de fermer le couvent des Pères Récollets. Les pères sont dispersés. Le couvent est vendu avec l’enclos y attenant (un bonnier vingt-cinq verges) le 21 août 1797 pour 12.500 livres. Un des Pères Récollets, le vieil MATHY Ignace, ne peut se résoudre à quitter Waremme. On le voit souvent entrer dans une modeste demeure, située en face du couvent désaffecté. C’est la maison de la famille POUSSET. Il y passe quelques années. Il confie au maître de maison un coffre, contenant probablement les archives du couvent, en lui demandant de veiller sur lui, de ne jamais l’ouvrir et de le confier à sa descendance. Il lui fait promettre de brûler ce coffre si les circonstances devaient l’obliger à s’en dessaisir. Il se consacre également au service paroissial. En 1808, il deviendra même vice-curé, à cause du grand âge du desservant, l’abbé HUBAILLE, qui aura alors plus de 80 ans. père Ignace MATHY mourra le 20 décembre 1809 et sera enterré entre la chapelle et la sacristie de la vieille église. En 1894, la vieille POUSSET Fulvie se sent arriver au bout de sa vie. Elle tient à respecter le serment fait par son père au père MATHY Ignace. Aidée par sa servante, CHABOT Marie-Anne, elle descend péniblement le lourd coffre du grenier, par un escalier étroit. Elles arrosent le coffre de pétrole, avant d’y mettre le feu, dans son jardinet, au pied du mur de l’ancien corps de garde.