En 2023, environ 1000 arbustes sont plantés sur 900 mètres de la rue Coâde, à Lens-Saint-Servais (Geer) pour permettre de retenir les terres et dévier les eaux de ruissellement. Il s’agit d’un chemin de remembrement, entouré de champs, jusqu’alors sujet aux coulées de boue.
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Francis Pirson (Hollogne-sur-Geer)
En 1998, PIRSON Francis et sa famille habitent l’ancien moulin à eau de Hollogne-sur-Geer.
(A la construction de celui-ci, le lit du Geer et du Faux-Geer sont détournés et les eaux sont dirigées vers un réservoir, actionné par un système de vannes)
Les décanteurs de Hollogne-sur-Geer
Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.
Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.
Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.
En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,
Les sucreries sentent mauvais (Waremme)
En novembre 1874, Madame MOUREAUX, veuve LAMBERT, se plaint au Conseil Communal de Waremme, de l’écoulement considérable des eaux provenant de la Sucrerie Centrale de Waremme et de leur odeur fétide. Ces eaux se déversent dans le canal, en face de sa maison.
Le magasin Prudhomme – Malherbe (Waremme)
En 1954, le magasin d’alimentation générale « La Maison PRUDHOMME – MALHERBE » est installé au n° 2 de la rue de la Costale, à Waremme.
Il vend:
- de l’épicerie
- de la crémerie
- de la confiserie
- des vins, liqueurs et spiritueux
- des fruits, légumes et primeurs
- des tabac, cigares et cigarettes
- des bières, eaux et limonades
- des produits d’entretien ménagers
Le commerce est à remettre pour cause de départ.
Il y aura une station d’épuration à Lantremange
En 1981, le Secrétaire d’Etat, COEME Guy, marque son accord pour la construction d’une station d’épuration à Lantremange et d’un égout collecteur y amenant les eaux de Bovenistier.
Construction de la Fontaine Saint-Michel (Waremme)
En 1871, la commune de Waremme construit la Fontaine Saint-Michel, rue de Berloz. Sa réalisation lui coûte 322 francs.
Les habitants du quartier viennent y récolter de l’eau dans des seaux, qu’ils transportent à l’aide d’un « harkê », et viennent y laver leur linge.