En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.
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Les latrines des écoles (Waremme)
Le 21 octobre 1852, le conseil communal de Waremme doit se prononcer sur le choix de latrines à établir pour l’usage des enfants fréquentant l’Ecole Moyenne et l’Ecole Communale. Ce choix se porte sur des tonneaux mobiles, entourés de petites guérites, qu’on ferme hermétiquement lorsqu’il s’agit de les enlever.
Il faudrait ouvrir une école moyenne (Waremme)
En 1850, dans son rapport au conseil provincial de Liège, le commissaire de l’arrondissement de Waremme, HALLET A., insiste sur la nécessité de créer dans cette localité une école moyenne. Plus de 300 élèves, dont environ 50 étrangers à la commune, fréquentent l’école communale de Waremme. L’arrondissement est entièrement dépourvu d’établissement d’instruction moyenne. Une bonne école professionnelle y réunirait aussi toutes les conditions de succès. Les intérêts de la Hesbaie militent également très puissamment en faveur de l’institution de cours agricoles à Waremme. L’enseignement pratique se ferait dans une des grandes fermes de la localité.
Denis Bertrand, instituteur (Waremme)
Le 14 mai 1850, le waremmien BERTRAND Denis est nommé aspirant instituteur, par arrêté ministériel, dans la première école communale de Waremme. Son diplôme porte la mention « Avec grand fruit ».
Le Conseil Communal règlemente les marchés (Waremme)
Le 23 janvier 1841, le conseil communal de Waremme adopte le règlement de police relatif à la tenue du marché décidé le 24 août 1839 et autorisé par l’Arrêté-Royal du 13 décembre 1840 :
… Le marché aux grains se tiendra près de la Maison communale et pourra s’étendre du tournant de la rue du Pont jusqu’à celui de la rue de Liège et dans l’autre sens jusqu’au coin de la place vis-à-vis de la ruelle du Curé. Le marché des bêtes à cornes sur l’ancien marché dit « des vaches », dans la rue de Liège et celui des porcs dans la rue de la Visigate. Celui des volailles, gibiers, beurres, fromages, œufs, viandes et légumes se tiendra sur la place vis-à-vis de l’école communale …
La Plan « Levarlet » (Waremme)
En 1828, le géomètre LEVARLET J. H. dresse le plan cadastral de la ville de Waremme et de ses hameaux.
Sur ce plan, on constate que le couvent des Récollets s’étend jusqu’au Geer. Il possède un cloître et une chapelle assez vaste, si on la compare à l’Eglise paroissiale Saint-Pierre. L’ancien couvent des Sépulchrines, quant à lui, est occupé par la gendarmerie et l’école communale.
Ignace Mathy, vice-curé (Waremme)
En 1808, MATHY Ignace, le dernier Père-Gardien du Couvent des Récollets, est nommé vice-curé, à cause du grand âge du curé desservant, l’abbé HUBAILLE Emmanuel, qui a alors plus de 80 ans. Le Père MATHY est également placé à la tête de l’école communale.
Les Sépulchrines achètent une maison pour y fonder un couvent (Waremme)
Le 17 juillet 1640, la Dame LUCAS Anna, prieuse des Sépulchrines de Waremme, acquiert une maison particulière, une cour, un cortizeau et ses appendices, appartenant à BOUX Jean Gisbert, située à l’angle de la ruelle du Curé (qui deviendra plus tard la rue Charles Lejeune) et de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) pour y établir le couvent des Sépulchrines.
Remarque: A cet emplacement s’installera plus tard la gendarmerie, l’école communale, la Société d’Harmonie, l’Académie de Musique.