Niveau d’alphabétisation des appelés (Wallonie)

En 1911, 55% des jeunes recrues wallonnes pour le service militaire savent lire, écrire et compter. 

Mort de Jenneval (Lierre – France)

En 1830, le volontaire français DECHEZ Jacques, dit « Jenneval », qui a composé les paroles de « La Brabançonne », est tué à Lierre.

Les « Desart » deviennent « De Sart » (Oreye)

Le 18 juin 1973, le Tribunal de 1ère Instance de Liège décide que le patronyme « DESART », de la famille des meuniers d’Oreye, s’écrira, dorénavant, « DE SART ».

L’école de Viemme

Vers 1789, il y a une maison d’éducation (école) à Viemme, tenue par JACQUES Mathieu. On y apprend à lire, à écrire, à compter et on y reçoit une instruction religieuse.

Alphabétisation en Belgique

En 1865, à la mort du Roi LEOPOLD 1er, seuls 47% de la population belge savent lire et écrire.

L’enseignement dans la région de Waremme

Vers 1670, les élèves qui bénéficient d’un enseignement apprennent le catéchisme, la lecture, l’écriture et quelques éléments de calcul. 

Généralement, l’enfant est admis à l’école vers 7, 8 ou 10 ans, et, en principe, poursuit ses études jusque 12 ou 14 ans.

Dans la pratique, la fréquentation scolaire est liée à la situation socio-économique des parents, à leurs besoins et à leurs ressources. Un enfant peut ne passer que quelques mois en classe, un autre plusieurs années, un troisième échapper à toute forme d’instruction.

Willy Hendrick, écrivain public (Waremme)

En 2014, l’ASBL Groupe Action de Waremme (GRAC) propose les services d’un écrivain public, HENDRICK Willy, tous les lundis. au n° 45 de la rue se Sélys-Longchamps, à côté de la Clinique Notre-Dame.

L’écrivain public propose, en toute confidentialité et gratuitement, écoute et aide individuelle à toutes les personnes qui éprouvent des difficultés dans leurs démarches administratives ou dans la rédaction d’écrits personnels.

Il aide à la compréhension et à la rédaction d’écrits divers: courriers administratifs, formulaires, lettres de motivation, dossiers de présentation, courriers personnels, …

Il ne signe jamais une lettre ou un formulaire; il n’est pas tenu par un résultat et n’ouvre pas de dossier individuel de suivi.

L’écrivain public se met également à la disposition des collectifs dont les membres désirent exprimer par écrit des revendications communes (associations de locataires, de consommateurs, de quartiers, de militants, …).

Il réserve une priorité absolue aux personnes belges et étrangères les plus « faibles » de notre société. Il se trouve à la lisière de l’insertion socio-professionnelle. L’écrivain public est signataire de la Charte Déontologique de l’écrivain public en Communauté française, qui définit son éthique, ses compétences et les limites de son intervention.

Très souvent, il oriente les personnes vers les services et les personnes compétentes (juristes, assistants sociaux, opérateurs publics et privés, …) Il facilite la communication avec les interlocuteurs requis des institutions publiques et privées sans jamais s’y substituer; il propose les mots justes et les phrases appropriées avec le vocabulaire de la personne bénéficiaire, dans une perspective d’autonomisation vis-à-vis de la lecture et de l’écriture.

HENDRICK Willy, écrivain public auprès du GRAC à Waremme, est un consultant senior, expérimenté en gestion des Ressources humaines, ancien cadre d’une entreprise internationale et membre actif de divers comités et groupements.

Il accueille chaque personne à titre ponctuel et confidentiel; il se débrouille en plusieurs langues et est inscrit dans un « réseau d’écrivains publics ».

L’écrit devient de plus en plus important (Liège)

En 1551, un mandement du Prince-Evêque de Liège rend obligatoire la présence d’un greffier dans le cas où une cour de justice locale s’avère totalement incompétente en matière de lecture. D’une société médiévale basée sur l’oralité, nous entrons dans une ère où l’écrit prend de plus en plus d’importance.