Le (?), DE FABRITIUS Marie-Catherine-Françoise voit le jour à (?). Ses parent sont l’Ecuyer DE FABRITIUS Charles-Jean-Baptiste et DE LONGCHAMPS Marie-Françoise.
Elle héritera du domaine de Longchamps à la mort de sa mère.
Le (?), DE FABRITIUS Marie-Catherine-Françoise voit le jour à (?). Ses parent sont l’Ecuyer DE FABRITIUS Charles-Jean-Baptiste et DE LONGCHAMPS Marie-Françoise.
Elle héritera du domaine de Longchamps à la mort de sa mère.
Les Croisades ont donné une vive impulsion à l’une des plus belles institutions du Moyen Age. La chevalerie, fruit de la religion et du sentiment de l’honneur, est une association de guerriers destinée à protéger les faibles contre les abus de la force. Les nobles seuls, après de longues épreuves, peuvent y entrer.
Dès l’âge de 7 ans, le futur chevalier est confié à quelque vaillant baron, qui lui donne l’exemple des vertus chevaleresques. Jusqu’à 14 ans, il accompagne le châtelain et la châtelaine comme page. Il les suit à la chasse, lance et rappelle le faucon, manie la lance et l’épée, s’endurcit aux plus rudes exercices. Par cette activité incessante, il se prépare aux fatigues de la guerre, et acquiert la force physique nécessaire pour porter les fortes armures du temps. A 15 ans, il devient écuyer. Il y a des écuyers de corps ou d’honneur, qui accompagnent à cheval le châtelain et la châtelaine ; des écuyers tranchants, qui servent à la table du seigneur ; des écuyers d’armes, qui portent sa lance et les diverses pièces de son armure. Les idées du temps ennoblissent ces services domestiques. Souvent, à 17 ans, l’écuyer part pour des expéditions lointaines. Enfin, lorsqu’il a 21 ans et qu’il parait digne par sa vaillance d’être fait chevalier, il se prépare à cette initiation par des cérémonies symboliques et religieuses. Le bain, signe de la pureté du corps et de l’âme, la veillée d’armes, la confession, la communion précédent la réception du nouveau chevalier. Couvert de vêtements de lin blanc, autre symbole de pureté morale, il est conduit à l’autel par deux chevaliers éprouvés, qui sont ses parrains d’armes. Un prêtre dit la messe et bénit l’épée. Le seigneur, qui doit armer le nouveau chevalier, le frappe de l’épée en lui disant : « Je te fais chevalier au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ». Il lui fait jurer de consacrer ses armes à la défense des faibles et des opprimés, puis il lui donne l’accolade, et lui ceint l’épée. Les parrains d’arme couvrent le nouveau chevalier de diverses pièces de l’armure et lui chaussent les éperons dorés, signe distinctif de la dignité du chevalier.
La chevalerie confère des privilèges et impose des devoirs. Formés en association et liés par un serment d’honneur et de fraternité, les chevaliers se défendent mutuellement. Mais si l’un d’eux manque à la loyauté et à l’honneur, il est déclaré félon et dégradé solennellement.
En 1527, l’écuyer DE BARBANCON Bauduin (Barbenchon), Seigneur de Villemont, reçoit la châtellenie et l’avouerie de Waremme de sa tante DE BOULANT Bertheline, dame de Jeneffe, Aaz et Hermée.
Il est l’époux de dame DE BOULANT Jeanne, fille de DE BOULANT Robert, seigneur de Monjardin.
La châtellenie et l’avouerie de Waremme resteront aux mains des « De Barbançon » jusqu’en 1640.
Le 20 (22) mai 1327, les 3 frêres écuyers, DE MOUHIN Ameil, dit « le Vieux », DE MOUHIN Arnoul et DE MOUHIN Rigault, frères du châtelain de Waremme, vivent ensemble dans leur forteresse appelée « Tour de Mouhin ».
Durant la Guerre civile des Awans et des Waroux, ils sont surpris entre leur tour et leurs écuries. Ils sont assassinés avec DE WAROUX Raes, par les Seigneurs DE MOMALE Waltère et DE BERLOZ Conrad.
Ils seront inhumés dans l’église de Waremme. Leur dalle funéraire porte l’inscription:
« HIC JACENT AMELIUS SENIOR / ARNOLDUS ET RIGALDUS DE MUHI FRATRES CONDAM / ARMIGERI QUI OBIERUNT / ANNO DOMINI M CCC XXVII MENSIS MAIJ DIE VUCESIMA SECUNDA »