L’émancipation populaire (Waremme)

En 1902, WAUTERS Joseph fait évoluer le Cercle d’Etudes Sociales « La Vérité », de Waremme, par la création d’un autre instrument d’éducation, d’abord appelé « L’Emancipation Populaire », qui deviendra ensuite « L’Extension Universitaire ».

Cette association organiseras des conférences où des spécialistes en différents domaines, tels que les arts, la politique, les sciences, viendront prendre la parole. Elle ne connaîtra pas un véritable succès de masse, mais attirera un public déjà cultivé.

Naissance de Jean-Baptiste Joannes (Darion)

Le 7 avril 1911, JOANNES Jean-Baptiste voit le jour à Darion. Il sera rapidement orphelin et sera élevé par son oncle. Il sera agriculteur. Il combattra et sera fait prisonnier durant la Deuxième Guerre Mondiale.

Le Pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)

Vers 1906 (?), le Pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme, est fréquenté par des demoiselles qui reçoivent une éducation religieuse et des connaissances pratiques en plus de leur formation générale.

Comment vivent les habitants de Waremme et des villages avoisinants au début du 14ème siècle ?

Vers 1300, les gens de nos villages vivent dans les maisons en torchis de deux pièces avec toit de chaume, les vitres n’existent pas. On s’éclaire, le moins souvent possible, à la chandelle, un coffre en guise d’armoire, un tréteau comme table, des escabeaux comme sièges, une botte de paille comme matelas. Pas de poêle, parfois une cheminée à feu ouvert On s’habille de bure, on se chausse de sandales en écorce et les mieux lotis de sabots. Médecine et pharmacie n’existant pas, on se soigne de tisanes et remèdes improvisés ! Le salaire des serfs, travailleurs de la terre, est maigre. Le dimanche est le seul jour de repos et la pratique religieuse obligatoire.

L’instruction n’existe pas ; à part les gens d’Église, les villageois sont illettrés pour la plupart.

L’éducation des filles (Waremme)

En 1866, les filles de Waremme passent de leur père à leur mari, avec pour seul bagage intellectuel les préceptes reçus à la maison.

Les Sépulchrines (Waremme)

En 1763, il y a 19 religieuses au Couvent des Sépulchrines de Waremme. Elles s’occupent de l’éducation des filles et des soins aux malades.

  • Dame Marie-Antoine de l’Ascension, prieure
  • Dame Marie-Catherine de Saint-Bernard
  • Dame Cécile de la Résurrection
  • Dame Marie-Barbe de la Nativité
  • Dame Ernestine de l’Incarnation
  • Dame Marie-Claire du Saint-Esprit
  • Dame Odile des Anges
  • Dame Isabelle de Tous les Saints
  • Dame Victoire de la Passion
  • Dame Marie-Anne de Saint-Antoine
  • Dame Marthe de Saint-Jean-Baptsite
  • Dame Rose de Saint-Augustin
  • Dame Lutgarde de Saint-Joseph
  • Dame Constance de Saint-Herman
  • Dame Marie-Thérèse de la Sainte-Agonie
  • Dame Emmanuelle du Saint-Sacrement
  • Soeur Anne-Marie de Saint-Jacques, converse
  • Soeur Hélène de la Croix, converse
  • Soeur Marie-Magdaleine du Saint-Sépulchre, converse

Leur servante est COLAR MARIE. Elle est âgée de 17 ans.

Plusieurs pensionnaires résident au couvent:

  • KAIRIS Marie-Catherine, âgée de 66 ans
  • GODAR Dorothée, de Lincens en Brabant, âgée de 28 ans
  • HANUS Marie, de Tirlemont, âgée de 18 ans
  • CORSWAREM Marie-Joseph, de Corswarem, âgée de 16 ans
  • HENDRIX Aldegonde, de Mettecoven
  • KUPPERS Thérèse, de Maestreick, âgée de 20 ans

Les deux premières Sépulchrines s’installent à Waremme

En 1640, deux religieuses de l’Ordre du Saint-Sépulchre, sorties de la maison de Huy, viennent à Waremme avec le consentement de leurs supérieurs pour s’établir dans le couvent des Sépulchrines, où elles s’occuperaient de l’instruction des jeunes personnes de leur sexe.

Aristote devient le précepteur d’Alexandre le Grand (Macédoine)

ARISTOTE

En – 343, PHILIPPE DE MACEDOINE confie au philosophe ARISTOTE l’éducation de son fils, ALEXANDRE LE GRAND.

philippe ii de macédoine

philippe ii de macédoine

alexandre le grand

alexandre le grand