La gare bombardée (Oreye)

Vers la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, la gare vicinale d’Oreye est bombardée par l’aviation anglaise. Des rames de wagons sont soulevées et se chevauchent. Des rails déchiquetés pointent vers le ciel. La salle d’attente s’effondre.

Le mur du cimetière de Pousset

En 1987, le mur effondré, qui séparait les deux parties du cimetière de Pousset, est reconstruit en béton armé.

Le mur du cimetière s’effondre (Momalle)

En 1933, le mur d’enceinte du cimetière de Momalle s’effondre du côté de la ruelle et entraîne des dégradations à la maison occupée par le marguiller. Cette maison est la propriété de la Fabrique d’Eglise.

Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.

DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.

D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.

En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.

Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !

Louis Putzeys (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de sa maison, rue Gustave Renier à Waremme, PUZEYS Louis est indemne. Il était debout en haut de l’escalier de la cave lorsque l’engin a explosé. Protégé, au-dessus de lui, par l’escalier menant à l’étage, il n’est recouvert que de quelques débris. Le reste du bâtiment est complètement effondré.

Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.

  • La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
  • Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
  • La maison « RENIER » est détruite.
  • La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
  • Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
  • La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.

La Terre tremble à Waremme

Le 23 février 1828, vers 8h15, un tremblement de terre de 4 à 5 secondes secoue Waremme. De nombreuse cheminées s’effondrent. Deux statues de saints sont renversées dans l’église Saint-Pierre. Les bancs de l’école sont culbutés et les enfants s’enfuient terrorisés. Par chance, il n’y a que des blessés et personne ne perd la vie.

L’église de Berloz est très endommagée.

Une partie de la toiture de la piscine de Waremme s’effondre

Le 1er juillet 2010, une partie de la toiture de la piscine communale de Waremme s’effondre sur le bassin pour enfants, qui a heureusement été fermé quelques heures plus tôt.

La rue du Tumulus de Waremme menace de s’effondrer

Le 24 août 2004, la rue de Tumulus à Waremme menace de s’effondrer. Des travaux sont entrepris d’urgence. Le responsable du Service Technique de la ville est DAUTRELOUX Jacques.