En 1746, durant la Guerre de Succession d’Autriche, les habitants du village d’Aineffe cachent leurs biens dans l’église du village, par crainte des « maraudeurs » de l’armée française, qui campe à Vinalmont. Mais ceux-ci briseront les vitraux de l’édifice pour s’emparer du butin.
En 1092, l’abbaye Saint-Laurent de Liège cède à l’abbaye Saint-Jacques (contre d’autres biens) tous les biens qu’elle possède à Aineffe, y compris ses droits sur l’église du village.
En 1997, un dossier de restauration de l’église Saint-Sulpice d’Aineffe est introduit.
Entre 1744 et 1789, la nef de l’église Saint-Sulpice d’Aineffe est reconstruite et décorée de Stucs.
Le 1er août 1933, l’église Saint-Sulpice d’Aineffe est classée par Arrêté-Royal, en raison de sa valeur artistique, archéologique et historique.
En 1907, l’abbé MONSCHAU Paul est nommé curé de Borlez et d’Aineffe. Il remplace l’abbé DE KERKHOFS Michel. Outre son ministère, il est également peintre en bâtiment. Il refera la peinture et la décoration intérieure de l’église.
Entre 1744 et 1789, la nef de l’église Saint-Sulpice d’Aineffe est reconstruite.
En octobre 1997, à l’occasion d’une visite de l’église Saint-Sulpice de Aineffe par des responsables du Patrimoine Wallon, en vue de sa restauration, une fresque représentant la scène biblique de « La Fuite en Egypte » est découverte. Elle est datée du XVème ou du début du XVIème siècle.
En 1744, la nef de l’église Saint-Sulpice d’Aineffe est reconstruite.
Au 11ème siècle, l’église Saint-Sulpice est construite à Aineffe.