Stèle en l’honneur de Jean Brankart (Momalle – Remicourt)

Le 23 (?) novembre 2024, une stèle en l’honneur de l’ancien coureur cycliste BRANKART Jean est inaugurée à l’entrée de l’église Notre-Dame à Momalle (Remicourt).

Carpe Diem en concert (Voroux – Momalle – Remicourt)

Le 30 novembre 2024, la chorale « Carpe Diem », de Voroux (Fexhe-le-Haut-Clocher), donne un concert de Noël en l’église de Momalle (Remicourt).

Le clocher sera restauré (Momalle – Remicourt)

En décembre (?) 2024, la Région Wallonne accorde un subside de 385.000 euros pour la réfection du clocher de l’église « Notre-Dame de l’Assomption » de Momalle (Remicourt), qui s’est fortement dégradé au cours des siècles.

Lambert-Joseph Mottard, curé (Momalle)

En 1812/1813, l’abbé MOTTARD Lambert-Joseph est desservant de l’église de Momalle.

Accord sur le legs d’Arnould de Corswarem à la Paix-Dieu

En octobre 1239, dans l’église de Momalle, DE CORSWAREM Guillaume ratifie les dernières volontés de son frère, DE CORSWAREM Arnould. A cette occasion, sa mère, DE JENEFFE Marguerite, et son oncle, DE JENEFFE Bauduin, lui enjoignent de ne mettre aucun obstacle à la fondation de l’abbaye de la Paix-Dieu et de fournir des garants à sa mère, procuratrice du nouveau couvent.

En échange de ces promesses, sa mère lui cède une partie des biens reçus de son fil, DE CORSWAREM Arnould:

  • 2 prés et la maison où il demeurait à Corswarem
  • 1 pré à Willine
  • 27 bonniers de terre arable à Rosoux et à Fresin
  • un cens de 60 sous et 60 chapons, avec la juridiction, dans le domaine de Niel 

Mort de Jules Duchesne (Momalle)

Le 7 mai 1968, le curé de Momalle, l’abbé DUCHESNE Jules, décède à (?), à l’âge de 59 ans, des suites d’une longue et pénible maladie.

Pendant son pastorat à Momalle, de 1953 à 1968 (?):

  • il a fait aménager l’antique église du village;
  • il a fait restaurer la chapelle  Notre-Dame à l’Arbre;
  • il a fondé la « Légion de Marie ».

Fin des travaux à l’église (Hodeige)

En 1906, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont achevés.

La « nouvelle » église comprend maintenant 3 nefs, séparées par 2 rangées de colonnes très espacées et formant 2 travées de chaque côté, sans compter les arcades ouvertes sur le sanctuaire qui reposent sur 2 piliers massifs.

Les colonnes de la nef principale sont cylindriques, peu élevées et d’un diamètre de 40 cm. Les chapiteaux, dont le tailloir est octogonal, présentent une ornementation très simple en bosselage (semblable à celle que l’on rencontre dans les églises de Thys et de Momalle) et qui représente des feuilles d’eau. L’intrados des arcs doubleaux est en pierre de taille, ornée de moulures.

Les 3 nefs donnent à l’église une largeur de 17 mètres, tandis qu’en faisant abstraction des chapelles ouvertes de chaque côté du chœur que l’on peut considérer comme un transept apparent, ainsi que de l’avant-chœur, elles ne lui donnent en longueur que 10 mètres 50. Ce manque de proportion n’est pas aussi choquant que l’on pourrait croire, parce qu’il se rachète par les chapelles et l’avant-chœur, d’une part, et, d’autre part, par le prolongement des nefs latérales contre la tour, elle-même évidée par une grande arcade.

L’intérieur est à peu près carré. Les colonnes étant très minces et fort espacées, l’abside du chœur étant peu profonde, et la dernière marche de l’autel se trouvant dans l’alignement des murs formant les chapelles, il en résulte un précieux avantage: les fidèles placés dans les bas-côtés peuvent voir le prêtre à l’autel.

Dans chaque mur latéral du chœur, il y a une fenêtre du style primaire, dont les meneaux sont en pierre de sable et dont les arcs sont trilobés. Le mur plat de l’abside est orné d’une grande fenêtre de même style, mais se distinguant de ses deux voisines par ses dimensions; ses arcs sont également trilobés. Conçue dans de gracieuses proportions, elle produit un bel effet.

Le chœur est couvert par une voûte en bois (pitch-pin) dépourvue de charpente apparente. Cette partie de l’église (qui selon toute probabilité a remplacé une ancienne construction en style roman) appartient toute entière au style du XIIIème siècle.

Un arc triomphal, dont l’intrados est une pierre calcaire, sépare le chœur de la nef centrale, et le pignon qu’il soutient est percé de 3 claire-voies qui allègent le poids du mur et servent en mêle temps d’ornement.

Le nef principale, éclairée seulement par les fenêtres des bas-côtés, est couverte par une voûte en bois et la charpente apparente a été remplacée par des tirants de fer (dont la présence fait penser à un édifice que l’on a voulu consolider !).

Les bas-côtés, qui n’ont pas de toit en appentis, mais en raison de leurs murs surmontés de plusieurs frontons triangulaires, sont couverts par des cesceaux (?) transversaux en bois dont la voûte est en pans coupés reliés par des moulures (alors que la voûte de la chapelle qui existait du côté de l’Épitre avant la restauration était en plein cintre et ornée de plusieurs nervures, ce qui lui donnait une forme plus gracieuse). Le voûtement des bas-côtés ne paraît pas tout-à-fait réussi.

La tour, très ancienne, n’est qu’une masse informe, sans cachet architectural et que couronne une flèche à 4 pans.

Extérieurement, l’édifice se fait remarquer par les frontons triangulaires et très pointus qui surmontent les bas-côtés. Chacun de ces frontons encadre une fenêtre du style flamboyant le plus pur et le plus élégant, partagée en 3 formes par les meneaux en pierre de sable reliés entre eux par des arcs surbaissés, et dont le tympan est rempli par des courbes décrivant un ensemble de figures, dont les plus nombreuses sont des flammes ascendantes ou renversées. Ces divers dessins, exécutés avec beaucoup d’art, font honneur à l’ouvrier chargé de ce travail.

Ces fenêtres sont au nombre de 3 du côté de l’Epitre, où se trouve la porte principale (au-dessus de laquelle se trouve une fenêtre en forme de triangule curviligne, dont le remplage est formé par des flammes et des trèfles pointus ou des cœurs allongés), et au nombre de 4 du côté de l’Evangile, si bien proportionnées, d’un dessin si varié, projetant sur l’ensemble de l’édifice un effet saisissant (aussi bien paraît mesquine cette petite ouverture, que l’on peut appeler « lucarne », qui se trouve dans chaque mur du fond des bas-côtés).

Les murs, dont le revêtement est en moellons de pierre, dite « castaine », et de silex dans la partie ancienne, et de calcaire dans la partie neuve, ont leur surface ornée de chaînages horizontaux en pierre de sable (le chœur excepté).

Le fenestrage présente des teintes bien assorties, et un vitrail représentant Sainte-Philomène (honorée d’un culte spécial dans la paroisse de Hodeige) est déjà placé dans la chapelle qui lui est dédiée.

Restauration de l’église (Momalle)

En 2004, la restauration totale de l’église de Momalle est finalisée avec l’aide de la Région Wallonne.

Travaux à l’église (Momalle)

En 1996, des travaux conservatoires sont réalisés à l’église de Momalle.

La statue de la Vierge (Momalle)

En 1959, l’artiste bruxellois, MATHIEU Alcide, réalise une imposante statue de la Vierge, en terre cuite émaillée, de 2 mètres de haut, pour l’église de Momalle.