Le 10 mai 1970, DUPONT Ingrid fait sa communion solennelle et sa profession de foi en l’église paroissiale de Bettincourt.
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L’église Saint-Pierre, magasin (Waremme – France)
Le 11 janvier 1794 (?), le général français DIETTMANN réclame l’église paroissiale Saint-Pierre de Waremme pour la transformer en magasin. Le Saint-Sacrement est transporté dans l’église du couvent des Récollets, plus petite, où se tiendront désormais les offices religieux, jusqu’en 1804.
Les cloches du canton stockées (Waremme)
En juin et juillet 1800, presque toutes les cloches du canton de Waremme, y compris celles de l’église paroissiale Saint-Pierre, sont déposées dans l’ancien couvent des Récollets de la ville. Elles y resteront jusqu’au Concordat de 1801.
Election à l’église (Waremme – France)
Le 2 janvier 1793, l’église paroissiale Saint-Pierre de Waremme est utilisée par les occupants français pour y tenir des élections.
Communion d’Ingrid Dupont (Bettincourt)
Le 10 mai 1970, DUPONT Ingrid fait sa communion solennelle et sa profession de foi, en l’église paroissiale de Bettincourt.
La chapelle de Longchamps devient église paroissiale (Waremme)
Le 12 novembre 1925, un Arrêté-Royal reconnaît la chapelle de Longchamps comme église paroissiale. C’est l’abbé RIGO, vicaire de Waremme, qui sera désigné pour administrer cette nouvelle paroisse.
Cette nouvelle paroisse va desservir un territoire limité au Nord par le chemin de fer, à l’Ouest par les communes de Grand-Axhe et de Berloz, au Sud par la chaussée Romaine et à l’Est par la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy). Selon qu’ils habitent le côté gauche ou le côté droit de cette rue, les Waremmiens dépendent de la Paroisse Saint-Pierre ou de la Paroisse Saint-Michel.
Le Premier Concordat (France – Vatican)
Le 15 juillet 1801, le Premier Concordat est signé entre le Premier Consul BONAPARTE et le Pape PIE VII, il règle les rapports entre l’Eglise et l’Etat.
Il vient mettre un terme à toutes les tracasseries des autorités républicaines et le culte peut, à nouveau, s’exercer librement. Cependant, le clergé est placé sous la surveillance du pouvoir civil : les Evêques sont nommés par l’Empereur ; les curés sont nommés par l’Evêque parmi les personnes agréées par le gouvernement. Ils doivent prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement. Chaque commune est autorisée à reprendre les cloches qui avaient été retirées des églises en 1797. Celles du canton de Waremme avaient été stockées dans l’ancien couvent des Récollets, notamment, parmi les plus anciennes, une cloche de 1353 de l’église paroissiale Saint-Pierre, une de 1314 du village de Marlinne, une autre de 1371 du village de Bleret.
La nouvelle organisation de l’Eglise est copiée sur celle de l’administration civile:
- Chaque diocèse doit correspondre à un département.
- Chaque doyenné doit correspondre à un canton.
- Chaque paroisse doit correspondre à une commune.
C’est ainsi qu’une ou deux paroisses sur trois est supprimée et est rattachée comme « chapellenie » à une paroisse voisine.
Certaines dénominations changent:
- Le doyenné devient cure.
- Le doyen devient curé.
- La paroisse devient succursale.
- Le curé devient desservant.
Le Concordat va ramener la paix religieuse dans la région de Waremme et apaiser les consciences. Toutefois, les biens de l’Eglise, qui ont été confisqués et vendus, ne lui sont pas restitués.
(Un certain nombre d’acquéreurs de ces biens sont des citadins de Liège)
Baptème de Clovis et progression du christianisme (Gaule)
Pendant son long règne, CLOVIS étend sa domination sur une grande partie de la Gaule. L’évangélisation de la Hesbaye prend un nouvel essor après son baptême par SAINT-REMI, le 25 décembre 496. CLOVIS devient le protecteur de la foi catholique. Des catéchistes itinérants élèvent des oratoires en différents lieux de la Gaule : Neustrie, en Austrasie et, plus que probablement à Waremme. Ces oratoires, où des prêtres célèbrent la messe, sont souvent construits par les grands propriétaires dans leur domaine. Ils vont se multiplier et devenir peu à peu des églises paroissiales.
Pendant le règne de CLOVIS, la région passe aux mains de BOIDENT, premier Comte de Tongres et Marquis de Hesbaye. Il serait le fils du Duc D’ARDENNE Henri et d’AYLIS, la sœur de CLOVIS. BOIDENT décide de rebâtir les villes détruites par les Huns.