Concert en l’église (Haneffe)

Le 2 mai 2014, un grand concert est donné en l’église Saint-Pierre de Haneffe, par le Royal Guidon Hesbignon et la chorale « La Clé de Saint-Pierre ». Deux des organisatrices sont:

  • APPELTANTS Francine
  • DELCHAMBRE Françoise

Financement de la nouvelle église (Waremme)

Le 15 mars 1879, le Conseil Communal de Waremme vote un subside de 35.000 francs et un emprunt de 50.000 francs pour la nouvelle église.

L’église en travaux (Waremme)

Le 1er juin 1880, le Conseil Communal de Waremme visite les travaux de l’église.

Obsèques de Lambert Dewonck (Waremme)

Le 30 avril 1883, les obsèques de DEWONCK Lambert, fermier de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond qui s’est suicidé, sont célébrées à l’église Saint-Pierre de Waremme.

Travaux à l’église (Waremme)

Le 14 octobre 1885, le Conseil Communal de Waremme débat des travaux à réaliser à l’escalier et au cimetière de l’église Saint-Pierre, avec l’architecte DEMANY Emile.

L’escalier de l’église (Waremme)

Le 7 octobre 1885, la Conseil Communal de Waremme se penche sur la question de l’escalier de l’église Saint-Pierre.

Le chœur est repeint (Waremme)

En novembre 1885, le chœur de l’église Saint-Pierre de Waremme est repeint.

Canonicat pour le curé de Hodeige

Le 6 mai 1658, le curé de Hodeige, l’abbé PRINTHAYE Gérard, obtient un canonicat en l’église collégiale de Saint-Pierre, à Liège, devenu vacant par la mort de DE LONCIN Mathieu.

L’Offertoire des Malades (Waremme)

Le dimanche 15 juin 1952, un jeu scénique intitulé « L’Offertoire des Malades » est organisé à Waremme, par les Doyennés de Braives, Couthuin, Hannut, Horion-Hozémont, Saint-Georges, Villers-L’Evêque et de Waremme, dans le cadre du Congrès Eucharistique des malades de Hesbaye.

Le rassemblement se fait sur la place de l’église Saint-Pierre et le cortège se rend ensuite à la clinique Notre-Dame.

Le manifestation est présidée par Monseigneur KERKHOFS, évêque de Liège.

La ferme en carré de Thys

En 1981, la ferme en carré de l’ancienne Seigneurie de Thys, rue Joseph Wauters, peut être divisée en deux volumes bien distincts: d’une part, le logis en L et l’église paroissiale Saint-Pierre, formant un petit rectangle qui s’ouvre à l’Est, et, d’autre part, le vaste U des bâtiments agricoles édifiés en brique et calcaire sur soubassement de silex et couvert de bâtières de tuiles et d’Eternit. Ce complexe, dressé sur un escarpement au pied duquel coulait le « R’wa », autrefois protégé par un fossé, a subi de très nombreuses modifications et trouve probablement son origine à la fin du 16ème siècle (pierre armoriée de 1576 sur le logis).

L’accès se fait au Nord par un porche en arc surbaissé doublé d’un rouleau de brique et reposant sur des piédroits harpés protégés par des chasse-roues.

Un petit bâtiment légèrement plus haut que le porche et en saillie par rapport à celui-ci, opère le lien avec le logis. Il présente un pignon débordant à épis et des bandeaux horizontaux de calcaire qui prolongent les piédroits harpés de ses trois fenêtres rectangulaires (aujourd’hui murées ou transformées).

L’imposant logis bâti sur un soubassement de silex, à l’endroit le plus escarpé de la butte, contrebalance le volume de l’église lui faisant face. A l’origine, il semble s’être composé d’une seule zone rectangulaire de deux niveaux hauts sur cave, percés côté cour de baies aux montants chaînés et prolongés de bandeaux horizontaux en calcaire. Des croupettes d’Eternit ont été ajoutées à la bâtière de tuiles. Sur cette première partie s’est greffée une aile plus basse formant le petit côté du L, éclairée d’étroites fenêtres surmontées d’arcs de décharge en briques, aujourd’hui murées et remplacées par des percements récents qui déparent d’ailleurs toutes les façades du logis. Une tourelle d’escalier aux angles arrondis se cale dans l’angle formé par les deux ailes du logis. Elle présente sous corniche une belle frise de briques dentée sur denticules, que l’on retrouve également sur toute l’habitation. A noter, à l’intérieur du logis, la présence de deux belles cheminées aux jambages de Style Renaissance. Un autre jambage de cheminée, figurant un personnage tenant un lion, est encastré dans la façade côté cour, à proximité de l’actuelle porte d’entrée.

A l’Ouest, un haut mur de briques, contre lequel s’appuient des porcheries modernes, relie l’habitation et la tour de l’église, fermant ainsi la « Cour d’Honneur » que ponctue une petite construction récente qui abrite un vieux puits.

Des étables fortement transformées, couvertes de voussettes et surmontées de fenils, bloquent les deux côtés du U destiné à l’exploitation agricole.

Une grange récente en double-large occupe le troisième côté. De belles portes d’étables à linteau cintré, doublé d’un rouleau de brique sur piédroits à queue de pierre, subsistent comme seules traces des bâtiments primitifs.

A l’extérieur du quadrilatère, vers le Nord, se rangent des porcheries modernes.