La Chaussée Verte (Herstappe)

En 1861, la Chaussée Verte, qui s’étend de Herstappe à l’embranchement de Saint-Georges, est déclarée « Chemin de Grande Communication ».

Une route à grande communication (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)

En 1851, une route à grande communication est construite entre Waremme et Fexhe-le-Haut-Clocher, avec un embranchement vers Momalle et Odeurs. (Elle deviendra plus tard la grand-route Liège – Hannut)

Démontage de voies (Waremme)

En 1992, l’ancien embranchement particulier à 6 voies, dont disposait la Sucrerie Centrale de Wanze à la gare de Waremme, est démonté.

Embranchement ferroviaire mis hors service (Waremme)

En 1987, l’ancien embranchement particulier à 6 voies, dont disposait la Sucrerie Centrale de Wanze à la gare de Waremme, est mis hors service.

L’entreprise Beauduin (Waremme)

Dès avant 1927, Monsieur BEAUDUIN, spécialisé dans le commerce de produits agricoles (engrais, semences, aliments pour bétail, …) et de charbon, dispose d’un embranchement ferroviaire à la gare de Waremme.

Sa propriété longe la remise des voitures du réseau vicinal, auquel il est également raccordé.

Une première grande route passe par Waremme

En 1846, la route de Waremme à Huy, avec un embranchement de Viemme à Saint-Georges, est la première grande voie qui atteint Waremme. Elle emprunte la première section de l’actuelle route de Huy et met Waremme en communication avec Liège en croisant à Faimes la route nouvelle qui va de Bierset à Hollogne-sur-Geer.

Création des chaussées romaines de Hesbaye

auguste empereur

auguste empereur

Dès le début de notre ère, l’Empereur AUGUSTE désire la création d’un réseau routier de première valeur. Il charge AGRIPPA Vipsanius de le réaliser. Dans notre région, une voie part de Bavay et se dirigeant vers Tongres, en traversant la Hesbaye. (Il est possible que les Romains se contentent d’élargir une piste gauloise existante).

La chaussée passe par les localités actuelles de Braives, Geer, Waremme et Oreye. Outre cette chaussée, un embranchement appelée « Chaussée de Nivelles » est également édifié. C’est un diverticule de la chaussée principale, qu’elle rejoint à Malpas et à l’ancienne Notre-Dame de Lorette à Grandville. Elle est empierrée en profondeur. C’est depuis cet endroit que partent les vivres et le fourrage des légions romaines du Rhin pour le relais de Bergilers, situé à mi-chemin de Braives et de Tongres. Une autre chaussée est construite entre Arlon et Tongres, via Amay.

De petits noyaux urbains ou des stations sont échelonnées à distance régulière sur ces chaussées (Braives, Bergilers, …), ainsi que des « villas-fermes ».

Les personnages importants de ces noyaux urbains et les grands propriétaires terriens se font enterrer, après crémation, sous des tumuli, aux abords de la chaussée.

(Selon certains historiens, les chaussées romaines et les « diverticules » sont construits sur des pistes déjà empruntées par les Gaulois.)