Banquet Libéral à Bruxelles (Waremme)

Le 30 juin 1878, un banquet libéral est donné aux Nouvelles Halles de Bruxelles. La délégation waremmienne est composée de:

  • BOUX, juge
  • DONCEEL Hector
  • HALLET Emile
  • LANDRAIN
  • LANDRAIN fils
  • LEJEUNE Jules, député
  • LEURQUIN, médecin
  • LOUIS Constant
  • MASSART Oscar, conseiller provincial

Il y a 6.300 convives.

Emile Hallet, Commissaire d’Arrondissement (Waremme)

En 1881, HALLET Emile est nommé commissaire d’arrondissement de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 1914.

Mort d’Emile Hallet (Waremme)

En 1919, HALLET Emile décède à (?). Il a été commissaire de l’arrondissement de Waremme.

Naissance d’Emile Hallet (Waremme)

En 1849, HALLET Emile voit le jour à (?). Ses parents sont HALLET Pierre et DEGENEFFE Euphrasie-Josèphe. Il sera commissaire de l’arrondissement de Waremme, comme son père.

Révision de la liste électorale libérale (Waremme)

Le 30 juillet 1876, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond organise une réunion en son château de Longchamps, pour revoir la liste électorale libérale. Sont présents:

  • DEGENEFFE Jules
  • HALLET Léon
  • HALLET Emile
  • LEJEUNE Guillaume
  • LEJEUNE Charles
  • JACQUES Camille
  • Monsieur LANDRAIN
  • Monsieur FIASSE

Les anciens remparts cultivés (Waremme)

En 1917, le commissaire d’arrondissement de Waremme et président du « Coin de Terre », HALLET Emile, propose d’exploiter les terres à l’endroit où s’élevaient les remparts, récemment nivelés.

Le « Coin de Terre » est une oeuvre qui met à disposition des familles un lopin de terre pour subvenir à leurs besoins, en cultivant de légumes et des pommes de terre. A Waremme, il y a 82 familles réparties sur 715 ares.

Il faut aider Liège (Waremme)

Le 24 septembre 1914, préoccupé par la situation alimentaire de Liège, le commissaire d’arrondissement de Waremme, HALLET Emile, organise une réunion à l’Hôtel de Ville de Waremme, réunissant les fermiers et les autorités communales. L’objectif est d’évaluer les réserves en céréales et en pommes de terre nécessaires aux besoins de l’arrondissement de Waremme et d’expédier les surplus à Liège.

Fixation des prix (Waremme – Belgique)

Le 17 août 1914, le commissaire d’arrondissement, HALLET Emile, fait afficher dans les rues de Waremme, l’Arrêté Royal du 14 août fixant le prix des denrées.

Emile Hallet, commissaire d’arrondissement (Waremme)

En 1905, HALLET Emile est commissaire d’arrondissement à Waremme.

Extrait de la Gazette de Huy du 20 août 1914 (Waremme – Allemagne)

Le jeudi 6 août 1914, à la brume, une centaine d’uhlans sont aperçus près de Waremme, sur la chaussé de Huy, par six carabiniers cyclistes. Ces braves n’hésitent pas un instant. Deux vont s’embusquer près du viaduc du chemin de fer et commencent à tirer rapidement afin de donner le change à l’ennemi en lui faisant croire qu’il se trouvait en présence d’une troupe nombreuse. Quatre uhlans sont tués et six blessés. Les quatre autres carabiniers surgissent à l’improviste, obligeant une quarantaine de cavaliers ennemis, dont le commandant , à se rendre. Les quarante uhlans fait prisonniers par les vaillants carabiniers sont conduits chez le Juge de Paix DETILLEUX et gardés, jusqu’à l’arrivée des renforts, par le Juge et par HALLET Emile, Commissaire d’Arrondissement. La conduite de celui-ci mérite d’être signalée. Alors que d’autres occupant des fonctions officielles ont quitté la ville depuis vendredi, HALLET Emile est resté à son poste, se multipliant, rassurant la population, veillant à ce que les soldats soient ravitaillés par les habitants, s’occupant des réquisitions, assurant la marche normale des services administratifs, secondé par les échevins de la ville. C’est à ce titre que je tiens à signaler la conduite de HALLET Emile et des autorités restées à Waremme. Leur sang-froid a rassuré la population. Des soldats ennemis, des uhlans notamment, passent à tout moment par ici, la population de n’en inquiète plus.

Dimanche, comme je me trouvais chez HALLEUX Michel, un notable d’ici, des cyclistes ennemis sont signalés près de la gare. Peu après, quelques coups de feu sont tirés. Croyez-vous que la population ait été prise de panique ? Pas du tout. Les habitants sont rentrés simplement chez eux et lorsque la fusillade a cessé ils sont sortis de nouveau, comme si rien d’anormal ne s’était passé.