Enfant assassiné à Berloz

Le matin du 10 novembre 2024, HOUILLET Ethan, un enfant de 4 ans est retrouvé sans vie, dans sa chambre, par son père, HOUILLET Grégory, rue Willine à Berloz. Celui-ci appelle les secours. L’enfant présente des plaies au visage, faites par un objet tranchant. L’autopsie révèlera qu’il est mort par étouffement. La mère, CHOJNACKI Emilie, enseignante, n’est plus au domicile.

Elle est retrouvée vers 13 heures, près du « Pont des Suicidés » de Cheratte (à un cinquantaine de km de la maison du drame). Elle déclare dans un premier temps avoir fait une « grosse bêtise » en trompant son mari ! et qu’elle se préparait à en commettre une autre. Les deux parents sont interrogés plus avant par la police. La mère ajoute qu’elle s’est disputée avec son compagnon, le soir précédent lorsqu’il a appris qu’elle le trompait. Il aurait décidé de rompre avec elle. Il aurait dormi au rez-de-chaussée, alors qu’elle aurait dormi dans la chambre au 1er étage. Elle dit s’être levée vers 6 heures du matin et avoir constaté que son fils était décédé. Elle ajoute avoir eu un « trou noir » et ne se souvenir de rien. Elle déclare avoir quitté le domicile sous le coup de l’émotion. Elle présente des plaies à la main, faites par un objet tranchant. Les déclarations du père sont cohérentes et ne permettent pas, à priori de la mettre en cause. A ce stade, le père est relâché et la mère est placée sous mandat d’arrêt pour assassinat.

Le couple est originaire de Grez-Doiceau et s’est installé à Berloz il y a 5 ans. Les parents n’ont aucun antécédent judiciaire et n’ont jamais attiré l’attention du voisinage.

Funérailles de Léon Berger (Waremme)

léon berger

léon berger

Le 31 août 1944, à 16 heures, la foule se rassemble devant la maison de GIHOUSSE Marie, rue Hubert Stiernet à Waremme, pour la levée du corps de son fils BERGER Léon. Un discours est prononcé par LEGRAND Arthur, le directeur de l’Ecole Moyenne.

PEETERMANS Willy, SAUWENS André et les deux frères MOUREAU transportent le cercueil jusqu’au cimetière. Ils sont précédés par les élèves de l’Ecole Moyenne, qui voulaient accompagner leur instituteur jusqu’à sa dernière demeure. Suivent Simone (?), la fiancée de BERGER Léon, son frère, BERGER « Pierrot » et de nombreux membres du Réseau Otarie.

Au cimetière, MOUREAU Auguste, le directeur de l’Ecole Communale de Longchamps, évoque la carrière de du défunt. L’émotion est très vive.

La grève dégénère (Belgique)

Le 31 juillet 1950, alors que l’émotion est à son comble, après la mort de 3 manifestants abattus à Grâce-Berleur par la gendarmerie, les partis se mettent d’accord sur un projet de transfert des pouvoirs royaux au Prince BAUDOUIN.