Inondations aux Jardins de Berloz

Entre 2022 et novembre 2024, la pépinière « Les Jardins de Berloz », installée au n° 1 de la rue Hameau de Crenwick à Berloz, est inondée à 7 reprises. La cause de ces inondations à répétition réside dans le rebouchage d’un fossé, par le SPW Mobilité, qui empêche l’écoulement normal des eaux de pluie. Les gérants de la pépinière sont THOMAS Hugo et CASTIGLIONE Julie.

Réorganisation de la société des fanfares (Waremme)

Le 6 août 1876, la Société des Fanfares est réorganisée à Waremme, DE LAFONTAINE lui ayant repris les instruments pour l’empêcher de jouer dans les écoles communales.

Les Plaids Généraux à Hodeige

Appelé aussi « Assemblement des Manants », il a lieu en plein air, soit sur le pont jeté sur l’Yerne, non loin de l’église, soit sur le cimetière.

Ce pendant, à la fin de l’Ancien Régime, la coutume veut qu’il se tienne en la résidence d’un des deux bourgmestres. En hiver, la communauté y fait feu à ses frais.

La liste des manants présents à ces plaids est consignée dans le registre des délibérations. En cas d’empêchement, le manant doit faire connaître le motif de l’absence. Dans certains cas, la femme peut remplacer le mari.

En cas de scrutin lors de la réunion, on consigne au registre le nom des votants « pour » et « contre ».

Accrochage à Hollogne-sur-Geer

Le 5 septembre 1944, à Hollogne-sur-Geer, une patrouille de Résistants du « Groupe Otarie » arrive à temps pour empêcher un peloton cycliste allemand de faire sauter les ponts sur le Geer, car l’avant-garde américaine doit franchir le cours d’eau à cet endroit. Après quelques échanges de tirs, les Allemands se replient sans avoir eu le temps d’exécuter leur mission.

Fin de la bataille de la Lys (Belgique – Allemagne)

Le 27 mai 1940, la bataille de la Lys s’achève par la capitulation de la Belgique. 2549 soldats belges ont été tués lors de cette bataille, sauvant le corps expéditionnaire britannique, en empêchant les Allemands de le submerger pendant son rembarquement.

Les instruments de la fanfare (Waremme)

Le 6 août 1876, lors de la distribution des prix à l’Ecole Moyenne de Waremme, le bourgmestre LEJEUNE fait une allocution.

Un incident se produit. DE LAFONTAINE (?) a repris les instruments de la fanfare pour l’empêcher de jouer à cette occasion.

Une « Garde Bourgeoise » (Waremme)

Le 13 novembre 1918, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, institue une « garde bourgeoise » pour assurer la sécurité de la population. En effet, la gendarmerie n’est pas encore de retour dans la ville.

Cette garde est composée d’hommes âgés de 21 à 45 ans. En sont exemptés les médecins, les pharmaciens, les prêtres, les religieux, les malades et ceux qui en sont empêchés par leur profession.

Le bourgmestre déclare que ce service est obligatoire et que des peines sont prévues en cas d’absence injustifiée.

Des écoles sont installées dans l’ancien Couvent des Sépulchrines (Waremme)

En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.